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« L'espérance n'est pas un leurre, c'est le pouvoir de rêver grand. » (En hommage à mes quatre grands-parents Madelinots venus s'établir ici, en Abitibi-Témiscamingue, en 1941 et 1942).
7 commentaires:
Pas évident à manipuler ta machine-vidéo. Par contre, le son était impeccable et les roucoulements de panique étaient bien audibles voire même divertissants. J'ai fait beaucoup de photos dans ma vie et ça m'a toujours vivement stimulé. Pour le film (ou la vidéo), j'ai comme une crainte : je n'ai jamais "osé". Continue tes expériences, je suis certain qu'avec ton talent naturel, tu parviendras à nous éblouir et nous émouvoir. Et je peux déjà prédire que ta force résidera dans la scénarisation de tes réalisations. Tu racontes tellement bien ...
@ Crocomickey : Tu m'as quasiment fait brailler mon tab... ouaire, je te retourne la politesse!
Oseras-tu mainteant essayer l'option vidéo de ta caméra? Tu ne peux pas faire pire que moi, allez, ose un peu...
Faudrait d'abord que mon appareil me le permette. Or ça n'est pas le cas ...
Quels cris ces huards !! Rien à voir avec ceux du canards.
D'ailleurs, je pense que ce sont les premiers huards que j'entends.
J'aime bien les autres bruits sonores : les voix du papi et de sa petite fille, les voix de ta fille qui t'appelle, la tienne également à plusieurs reprises.
On se croyait vraiment à bord du bateau. On s'y croyait tellement que j'ai du m'accrocher à mon clavier et à ma souris quand ça tanguait.
@ Mijo : T'as pas eu le mal de mer toujours? Une chance que t'as le pied marin! C'était la première fois que t'entendais des huards? C'est touchant, je trouve, et ça m'émeut vraiment de te les avoir présentés.
Non, je blaguais quant au mal de mer.
Sinon, pas de huard en Europe je crois. Mais je ne pense pas en avoir entendu quand je suis venue dans ton pays. (Deux fois en hiver; une fois en automne).
@ Mijo : Je blaguais aussi quant au mal de mer! Mais j'étais sérieuse quant à ma joie de t'avoir présenté les huards que tu n'as pas pu connaître lors de tes voyages ici, en automne et en hiver. Leur cri est à nul autre pareil, empreint d'une beauté sauvage et d'une douce nostalgie. Leur vrai nom, c'est « plongeur » mais tout le monde les appelle « huard ». Ils illustrent d'ailleurs nos pièces de 1 dollar. C'est pourquoi on entend souvent parler chez nous de la valeur, de la hausse et de la baisse du huard.
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