Photo 1 : Cet avant-midi, 11 h 15, entre deux courses urgentes, je dois passer au guichet automatique d'une institution financière du centre-ville. Qui c'est qui me bloquait la porte d'entrée? Maman Canard et ses 7 ti poussins. Confiants et disciplinés qu'ils étaient à part ça! Mais elle semblait avoir perdu le Nord, à tout le moins son GPS de canard...
Photo 2 : J'avais beau être pressée, il n'était pas question que je les abandonne de même au centre-ville, pauvres ti choux... Pendant que je prenais ces photos, je parlais à un monsieur qui me disait qu'il les suivait presque depuis le lac Edouard (au Parc botanique À fleur d'eau) à quelques rues de là. Il voulait les amener jusqu'au lac Osisko, le plus proche cours d'eau en ville. Je trouvais que c'était une très bonne idée.
Photo 3 : En continuant sur cette rue, les voilà presque arrivés à la terrasse de l'Abstracto, café bistrot où Isabelle allait bientôt commencer sa journée. On a suivi l'aventure.
Maman Canard a perdu le Nord...
L'histoire se termine bien même si je n'ai pas les photos pour le prouver. Le gentil monsieur a arrêté le trafic sur cette rue pour faire traverser les canards, ce qu'ils ont réussi sans aucun problème, apparemment soumis à sa voix chaude et calme.
Pour ceux qui connaissent un peu ce coin de la ville de Rouyn-Noranda, une fois la rue traversée, ils n'avaient plus loin à marcher, clopin clopant, pour se rendre jusqu'au lac Osisko, en passant dans le stationnement du cinéma Paramount, traversant la ruelle qui mène à l'Avenue du Lac près de la Maison Dumulon et hop! dans le lac. Les petits choux n'ont jamais su qu'ils avaient été en danger, ils ont visité le centre-ville, ont presque pris une tite frette sur la terrasse de l'Abstracto et Maman Canard n'a jamais perdu la face devant ses petits. Non mais, ne riez pas, c'est très important pour un parent de ne pas perdre sa crédibilité auprès de ses petits!
33 commentaires:
Wow! T'es passée par là au bon moment.
Genre de belle surprise qui agrémente la journée.
Wow !! Superbes photos et quelle belle histoire. C'est vraiment agréable de vivre à Rouyn-Noranda.
En espérant qu'ils ne se retrouvent plus dans ce coin-coin-coin avec le vague à l'âme, elle et ses flots! T'ont pas raconté le film qu'ils étaient allés voir?
J'aime donc ce charmant billet... et ses petits canetons, canetis, cane. J'adore tes histoires d'animaux, mais tu sais bien.
Zed ¦D
Hahahahaha! Ces canards font cancans!
Ici, on a une famille du genre mais avec 9 petits. Cependant, ils sont sur la rivière, leur place. Ils sont aussi très disciplinés maintenant, après une soirée de remontrances de la mère cane qui ne cessait de ramener le petit dernier dans la "ligne de droit chemin" (le vilain petit canard?).
C'est donc beau de regarder ça qui nous donne des leçons... Toute cette vie.
On a jamais su comment la mère canard avais retirer au guichet!
Comme ça y a maintenant un poste de payage entre le lac Édouard et le lac Osisko.
en passant par la rue Larivière pis l'avenue du lac...c'est des noms familier pour n'importe quel canard.
Elle a eu de la chance maman canard, voyager en ville avec toute sa marmaille c'était risqué.
Il arrive que les mamans canes en aient mare de rester à la maison, alors elles disent à leur marmaille : si vous êtes sages et que vous suivez maman à la queue leu leu, je vous amène faire un tour à la ville.
S’il n’y avait pas eu photos à l’appui, on ne l’aurait jamais cru cette histoire de canards qui font du shopping.
Heureusement qu'il y avait un bon samaritain.
Des enfants insouciants suivant en confiance un parent qui ne sait pas trop ou il s'en va, c'est assez courant. Heureusement, que tout s'est bien terminé et un gros merci à ce monsieur qui a pris la cause en main.
Merveilleuse Zoreilles avec tes histoires magiques de faune aquatique...
@ Gaétan : Depuis que j'ai reçu en cadeau mon nouvel appareil photo, ça m'arrive plus souvent d'être à la bonne place au bon moment! Il est si discret que je le traîne à la ceinture.
@ Henri : Au centre-ville de Rouyn-Noranda, pour les pauvres ti choux du règne animal, les histoires se terminent plutôt bien. Te souviens-tu du petit orignal qui avait visité la ville en juin de l'année dernière? J'en avais fait un billet, « Pauvre ti chou... », il avait fini son trip centre-ville dans le lac Osisko où des bons yâbes l'avaient dirigé vers la partie non urbaine où il avait pris le bois. Un vrai Walt Disney!
@ Zed : Dans ce coin-coin-coin de la ville, tous les vagues à l'âme ne se terminent pas aussi bien pour tous les flots... Jusqu'à maintenant j'ai de la chance, mes histoires d'animaux ont une finale assez « humaine ».
@ Esperanza : Ah oui, toute cette vie. Neuf petits? Elle a intérêt à avoir de l'autorité et savoir où elle s'en va, surtout avec le vilain petit canard!
@ Joce : Apparemment, son compte était « à sec », c'est pour ça qu'elle « bummait » au centre-ville avec ses petits! C'est donc vrai, la rue Larivière, l'Avenue du Lac, le Parc botanique À fleur d'eau, l'Avenue des Iles, le chemin des Voiliers, la rue du Ruisseau et trois lacs en pleine ville : Osisko, Edouard et Kiwanis (Noranda). Les canards peuvent bien se sentir chez eux n'importe où!
@ Solange : T'as bien raison. Isabelle qui travaille au café bistrot bar pas loin me disait que ce ne sont pas les seuls drôles d'oiseaux qui sont passés par là hier!
@ Caboche : C'est ça... T'as tout compris... Elle en avait mare, la mère Canard. Et la preuve, tu l'as sous les yeux, surtout dans la photo 1, regarde bien, on voit leur reflet dans la porte vitrée de la Caisse Pop!
@ Pierre : Et l'inverse est aussi vrai, des parents qui savent où ils s'en vont mais qui ont des ti poussins qui ont perdu le Nord... Moi aussi, j'ai trouvé ce monsieur pas mal gentil, il semblait à la retraite, il avait tout son temps et je crois que cette mission a illuminé sa journée. Y a du bon monde dans l'monde, t'sais...
@ Fitzsou : Toi et moi, on se partage deux univers, tu fais dans l'aérien, et moi, dans l'aquatique! Les canards font partie de nos vies.
Quelle belle histoire qui se termine bien.
Y'a de la magie dans l'air, c'est bien certain!!!
@ Guy : Y a de la magie à Matagami aussi, hein? ;o)
Comme ton histoire est adorable, charmante... Et on reconnait en toi un grand coeur et un amour des animaux.
Je me serais dit la même chose aussi: "Pauvr'tits!". Ils sont si mignons lorsqu'ils suivent aveuglément leur maman qui, elle, semble être tout à fait maître de la situation! Ça m'est arrivée aussi il y a de cela 2 étés. La maman canard traversait la rue, tout bonnement, avec ses petits pour rejoindre la rivière qui était à ma droite. Tout le monde arrêtait, très respectueux de ces petites vies à peine éclots!
Zoreilles,
avant que tu en parles, j'avais remarqué que ton nouvel appareil photo avait l'air de te suivre un peu partout.
À moins que ce soit les petites bête qui soit attirées par lui.
Les animaux ont beaucoup de leçons à nous apprendre...
Délicieuses photos, texte magique et adorable histoire qui nous fait rêver à des temps de calme et de béatitude.
Hé qu'on est bien chez toi, ma tendre Zoreilles! Ici, dans ton monde virtuel et dans ta belle Abitibi, ton monde réel. Et si on est bien chez toi, c'est que tu sais comment si bien nous recevoir.
Je t'embrasse, ma belle raconteuse!
Zoreilles: Je suis bien d'accord, y'a de la magie dans l'air de Matagami, tout comme de la Baie-James et de l'Abitibi... malgré le vol permanent des richesses naturelles de ces régions.
@ Nanou : Y a des fois dans la vie où les mamans doivent se montrer maîtres de la situation... C'est drôle, quand je l'ai vue, avec sa nombreuse marmaille si confiante, je me suis sentie solidaire d'elle surtout! ;o)
@ Jacks : Le pire, c'est que je vais devoir me discipliner un peu parce que je suis rendue avec une banque imposante de photos à gérer sur mon ordi comme c'est pas possible. Il va me falloir élaguer, conserver sur CD, clés USB, etc.
@ Rosie : Je me sens souvent privilégiée de voir ce que je vois, d'entendre ce que j'entends et de vivre ce que je vis. Rien ne me fait plus plaisir que de partager tout ça. Je suis privilégiée surtout d'avoir des amis virtuels bien réels avec lesquels je peux partager. Je ne vous le dis pas assez souvent mais je vous apprécie tout le temps.
@ Guy : De la magie, y en a partout, dans tous les coins-coins-coins du Québec! Ça dépend surtout des magiciens et magiciennes qui y vivent. Aujourd'hui, à la veille de la Fête nationale, c'est le Québec tout entier, mon grand amour, et si je commence par Abitibi-Témiscamingue, c'est pour respecter l'ordre alphabétique!
Zoreilles,
oui les animaux ont beaucoup à nous apprendre, comme le dit Rosie. Ici à Montréal les piétons ont du mal à traverser la rue de manière sécuritaire lorsque c'est leur tour. Vroum-vroum! hurlent les moteurs enragés. Alors cette maman et ses bébés ont bien de la chance de vivre dans ta si belle région...
:)
@ Lise
Tu as peut-être raison...mais je suis certaine (ou naïve?) que si une maman cane et ses petits tentaient la traversée Ste-Catherine/McGill, les voitures s'arrêteraient et les cellulaires se feraient aller...surtout en les voyant rentrer à la Baie faire des courses! :o)
Ça me rappelle des souvenirs, hihihi! Je me suis déja arrêtée le long de la route à "l'heure de pointe" (hihihi!) du matin pour laisser passer maman et sa "trâlée". On était 4-5 voitures en attente de chaque côté avec le sourire fendu jusqu'aux oreilles à les regarder trotter clopin clopant. Ça commence bien une journée! On se sent tellement bien...
Sans compter les petits becs scie qui traversaient tous les matins notre mini pont sur le creek, au lac....
Bonne St-Jean!
"C’est quoi la Saint-Jean selon vous? "(Stéphane Laporte)
http://blogues.cyberpresse.ca/laporte/2010/06/22/cest-quoi-la-saint-jean-selon-vous/
@Claire,
les seuls canards qui pourraient se retrouver au centre-ville devraient être bien aventureux. Leur demeure ici se trouve au Jardin Botanique; ils auraient loin à marcher sur leurs petites pattes palmées. Et les canards vivant sur les rives du fleuve n'en sortent pas, à ma connaissance. Sont pas fous!
:)
La St-Jean aujourd'hui; j'ai passé un après-midi tranquille avec ma mère, l'ai promenée dehors avec le fauteuil roulant, ce qu'elle adore et ça me plaît aussi. Un bon exercice pour moi et du bonheur pour elle. Au retour nous avons entendu les rumeurs en provenance de la rue Sherbrooke (le défilé), mais je n'ai jamais essayé de monter la pente avec le fauteuil, et ne suis pas sûre que j'y arriverais.
Je regarderai le spectacle à la télé ce soir, jusqu'au moment où mes yeux se fermeront malgré moi, parce que les foules, pas capable! Déjà prendre le métro au retour était un cauchemar, une fourmillière humaine...
:)
Vois tu Zoreille, hier justement, j'ai pensé très fort à tes canards au centre ville,hier, lorsque sur le chemin revenant de mon coin de paradis, j'ai croisé sur la route une maman perdrix et ses petits, alors je me suis arrêté et leur ai laissé tout le loisir de quitter la route à leur rythme. j'avais tout mon temps, et personne ne me poussaient dans le dos, j'étais chez moi, alors...
C'était tout simplement magique.
Après le sauvetage des bébés oursons, puis l'orignal en ville voici l'aventure de Maman canard et ses petits.
J'aurais tellement voulu voir Maman Canard prendre une p'tite frette et ses petits boire à la paille un diabolo menthe !!!
@ Lise : C'était plutôt insolite de croiser cette Maman Canard et sa marmaille au guichet automatique mais quand on y pense, au centre-ville de Rouyn-Noranda, il y a trois lacs, alors c'est plus plausible quand même qu'à Montréal. Quoique... quelqu'un m'a raconté qu'un mâle et une femelle avaient adopté en début de saison... sa piscine! Y a des mares à canards plus petites et plus urbaines que d'autres...
@ Claire : La différence, je crois, c'est que si c'était arrivé à Montréal, sur Ste-Catherine/McGill, on aurait effectivement alerté les médias qui seraient accourus et tout le monde aurait vu ça aux nouvelles!
@ Soisig : Quand ça arrive ici, on en fait pas un cas, tout au plus un petit billet dans un blogue (!) mais on assiste à ça avec émerveillement et on se sent bien, comme tu dis, solidaires du même monde, toutes faunes confondues! Merci pour le lien sur le billet de Stéphane Laporte, je l'ai lu avec grand intérêt. Je n'y ai pas reconnu le Laporte auquel on est habitué, son émotion était peut-être contenue, as-tu eu cette impression? Il semble nostalgique de cette époque que les moins de trente ans ne peuvent pas connaître... On dirait qu'il se raisonne.
@ Lise : Une St-Jean full familiale pour toi? Pareil pour moi. Nous avons été utiles au bonheur ou à tout le moins au confort de ceux qui nous sont chers. Là où j'ai été le plus « Fête nationale », c'est hier soir en écoutant d'une manière distraite le show animé par Guy A. Lepage à Montréal. Quelques bons moments, sans plus, dont l'interprétation de L'Escalier de Paul Piché que j'attendais. Après, je suis tombée dans les bras de Morphée...
@ Barbe blanche : J'espère que t'as pris des photos? Maintenant que tu as ton blogue, on pourrait espérer voir ça bientôt? Sont tellement mignons les petits!
@ Mijo : T'as l'imaginaire encore plus fertile que moi. Quel petit canard, même le plus vilain, pourrait résister à un diabolo menthe avec une paille? Tu devrais envoyer ton c.v. chez Walt Disney! ;o)
Je suis allé voir le billet de Stéphane Laporte sur le lien laissé par Soisig.
Je suis d'accord qu'on ne retrouve pas l'émotion sacrée du spectacle 5 fois 5. Des Vigneault, Ferland, Charlebois, Léveillé, Deschamps ensembles, on ne peut voir ça souvent dans une vie. Nous étions gâtés. L'époque elle-même était remplie d'espoirs et de dynamismes comme on n'en verra sans doute jamais plus.
Mais, malgré tout, j'ai adoré le spectacle animé par Guy A. Lepage. C'est le meilleur que j'ai vu depuis longtemps. Et je crois qu'il a dû tout de même contribuer à allumer quelques flammes qui pourraient devenir contagieuses. Je nous le souhaite.
@ Jacks : « L'époque elle-même était remplie d'espoir... »
Voilà, tu as tout résumé.
Cette nostalgie qu'on ressent, tu a mis le doigt dessus avec ta phrase-révélation. Même avec le magnifique spectacle d'hier soir, ces artistes talentueux, leur générosité, ce métissage de plusieurs cultures avec le dénominateur commun, la langue française, ces collaborations, ces échanges, l'énergie qu'il y avait sur la scène, tout était parfait. Rien à redire. Ce qu'on regrette d'avoir perdu, c'est l'espoir de cette époque qu'on sent peut-être révolue?
Bonjour chère amie Zoreilles
Une chose plutôt incroyable s'est produite dans mon univers virtuel. Un ancien collègue de ma classe a souhaité que l'abbé Jules Beaulac puisse vive son purgatoire longtemps en compagnie de filles toutes nues.
J'ai été tellement dégoûté que j'ai décidé de quitter le monde virtuel. J'ai démissionné de mon tire de Président à vie de la classe de la cohorte 57-65. Et j'ai bien l'intention de mettre tout ce que je peux à OFF.
Compte tenu des liens particuliers qui nous unissaient depuis mon entrée dans le monde virtuel, je voulais t'en aviser. Jackss n'existe plus. Je reprends uniquement mon vrai prénom: Jacques. Et je répondrai toujours à tes emails.
Lâche pas, Zoreilles, tu as encore ta place pour longtemps dans cet univiers qui te sied si bien. Je reviendrai te lire. Mais moi, je ferme boutique.
Jacques,
Ta peine est immense, je peux le comprendre... Sachant tout ce que représentait pour toi l'abbé Jules Beaulac qui vient de décéder alors que tu t'apprêtais à le recevoir chez toi, cet ami, ce grand frère, ce confident, cet homme qui n'a fait qu'aimer, comprendre et donner aux autres tout au long de sa vie, qui t'a tellement inspiré aussi et qui continuera de le faire...
À cause d'une illustration parfaite de la bêtise humaine, maintenant, ta révolte est aussi immense que ta peine. Et que cette absurdité survienne par l'entremise d'un ancien collègue de la cohorte 57-65 dont tu es le président à vie (parce que le rassembleur que tout le monde connaît) me semble encore plus cruel.
Ainsi, tu as le réflexe de tout mettre à OFF. T'éloigner du monde virtuel parce que c'est là que tout est arrivé? Seras-tu préservé de toutes les insanités de notre monde? Non. Toi et moi, on le sait, le virtuel et le réel se rejoignent toujours parce que derrière chaque écran, c'est un humain qui pitonne.
Je respecte ta décision. Je te remercie de m'en avoir avisée. Je viens d'aller vérifier et effectivement, l'accès à ton blogue m'est refusé, on me dit que je ne suis pas invitée. Sur le coup, la formulation de Blogger me fait toujours sentir tellement « rejet ».
Je m'inquiète aussi de ta cohorte, tu voulais rassembler tout le monde cet été, tu as travaillé là-dessus depuis si longtemps.
Même si je respecte ta décision et que je comprends ta réaction, je trouve que nous serons plusieurs à payer la note pour la bêtise humaine que vient de commettre ton ancien collègue de classe.
Je dois quitter tout à l'heure pour aller rejoindre Gilles qui m'attend au quai de Rapide Deux. Mais tu m'inspires un billet que je vais mettre en ligne avant de partir et ce faisant, je souhaite que tous nos amis virtuels sauront trouver les mots pour mettre un peu de baume sur ta blessure si vive.
Virtuellement et réellement, nous avons partagé tant de choses que je serai toujours,
Ton amie,
Francine xx
@Zoreilles et Jackss
Ce serait dommage Jackss de te voir disparaître à cause de ce commentaire qui t'a bouleversé. Ton monde virtuel est riche, et tes billets toujours intéressants; celui que tu mentionnes, je l'avais lu, sans commenter, avant l'apparition des mots qui t'ont fait tant de peine.
Il nous arrive à tous de dire ou écrire des choses blessantes pour d'autres, étant imparfaits (j'en suis un exemple), et si cette personne avait crû faire une plaisanterie, elle était très douteuse. Si par contre elle voulait vraiment te blesser, c'est réussi, et il ne faudrait pas lui laisser le plaisir de la victoire, si j'ose dire, en fermant ton blogue.
Ceci dit je suis très mal plaçée pour ajouter autre chose; plus souvent qu'à mon tour j'ai fait de la peine involontairement, soit que je n'allais pas bien et tentais d'exprimer quelque chose qu'il aurait mieux valu taire, ou me suis mal expliquée...
Ce n'est par pour rien que je ne suis pas prête à avoir un vrai blogue. Je préférais écrire ce commentaire ici, espérant que tu reviendras en arrière pour le lire.
@Jacques
il ne faudrait pas penser que j'essayais de minimiser ce qui est arrivé dans ton monde virtuel, car provenant de quelqu'un que tu connais bien, en qui tu avais confiance j'imagine, ton chagrin est tout à fait justifié. La sensibilité n'est pas donnée à tous, et cette personne en est totalement dépourvue c'est clair!
Une pause salutaire comme dit Barbe-blanche, plutôt que fermer définitivement, c'est ce que nous espérons tous. Si tu choisis la dernière option, ce serait manquer de respect que d'insister, mais ce serait tellement dommage...
@ Lise : C'est un très beau message que tu adresses à notre ami Jacques. Je veux simplement te signifier que je l'ai lu moi aussi avec un grand bonheur. Charmante Lise... Qu'est-ce qu'on ferait si t'étais pas là?
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