J'ai cherché dans toutes mes photos celle qui pourrait illustrer ce que j'avais à dire aujourd'hui et celle-là m'a fait un effet instantané. Pigée dans l'album de notre fille, cette photo avait une note à l'endos où je reconnais mon écriture : « Mon premier contact avec le Père Noël, décembre 1987, pharmacie Jean Coutu. Je ne l'ai pas aimé, il parlait fort, il riait fort et Maman a dû nous laisser ensemble pour que le photographe fasse son travail. Le Père Noël avait 10 secondes pour m'apprivoiser. Il a échoué! »
Noël, la saison des réjouissances
Quand j'étais petite, le temps des fêtes durait au moins deux semaines et j'en garde des souvenirs impérissables... Les familles étaient si nombreuses et mes deux familles très élargies nous rassemblaient toujours en Abitibi-Ouest, dans la grande maison du rang VII, sur la route de Dupuy, chez mes grands-parents maternels, ou alors dans l'autre, au Petit Village à La Sarre, chez mes grands-parents paternels.
Dans la grande maison du rang VII, c'était toujours le temps des réjouissances et particulièrement au temps des fêtes. On arrivait de partout, des pleins chars, et tout le monde était accueilli dans des effusions de joie, de rires et des petits bouts de refrains. Il me semble que je nous revois encore débarquer de l'auto, tout endimanchés et ceux qui étaient arrivés avant nous venaient nous ouvrir la porte en nous sautant quasiment dessus. On aurait dit qu'on éclairait la place quand on arrivait et que ça devenait de plus en plus lumineux quand les autres se pointaient à leur tour.
Les retrouvailles avec les cousins et cousines étaient bruyantes et animées, mais jamais autant que celles des grands. Dans la famille de Maman, tout le monde joue d'un instrument de musique, tout le monde chante. Moi, j'avais tout le temps hâte que la musique commence mais je savais que ça ne viendrait qu'après le souper, il fallait laisser les guitares s'acclimater et on avait un respect immense pour les instruments de musique, on les regardait seulement. L'arbre de Noël dans le salon était magnifiquement décoré par Grand-Maman Éva, avec un ange dans le haut, des boules de Noël très anciennes même parfois un peu dépeinturées mais toujours si brillantes, des cartes de Noël reçues des Iles, toutes écrites dans les moindres petits racoins, des glaçons, des cheveux d'ange, et au pied du sapin, beaucoup de petites maisons, une église et une grosse crèche où il ne manquait personne, personne, il y avait même tous les petits bergers avec des agneaux dans les bras et tout. On était catholique fervent dans la famille...
Dans ce tourbillon de cris, de chansons, de tapage de pieds, de jouage de tours, de p'tits boires et de rigolade, on ne pensait pas aux cadeaux, c'était bien secondaire, on en aurait un, c'est tout, c'était comme une loi non écrite parce que Noël, c'était tout sauf ça. J'ignore comment les grands faisaient mais dans le temps de le dire, la table était servie pour les grands et nous, les enfants, on avait chacun notre marche dans l'escalier qui donnait sur l'immense cuisine, bien entendu, on n'aurait pas voulu rien manquer du party. Dans l'escalier chez Grand-Papa, il y avait toujours une hiérarchie selon l'âge, donc, on avait quasiment notre prénom d'écrit sur notre marche, la mienne, c'était la deuxième, il y avait juste Michel de plus vieux que moi. Ensuite, il y avait la marche à Lise, Solange, Raymonde, Ti-Luc, Ti-Gilles, etc...
C'est après le souper qu'on avait des surprises parce que d'autres se joignaient à la famille, les cousins de nos parents. Eux autres, ils avaient des violons et des accordéons en plus de toutes les guitares. Ah là, c'était sûr qu'on allait veiller tard! Entre deux morceaux de vaisselle à laver, on recevait notre cadeau. Il ne passait jamais sous le sapin, il n'y avait pas de place pour ça de toute manière, avec les petites maisons et la grosse crèche... Je me rappelle avoir eu une année un Colorola. J'étais donc contente. Maman devait avoir commandé ça dans le catalogue : Un machin en plastique rouge avec dedans une feuille magique qu'on pouvait colorier avec des crayons de cire et quand on tournait la manivelle, il apparaissait un autre dessin à colorier. Quand on avait fait le tour et qu'on revenait au dessin de départ, il était tout effacé et redevenu vierge. Je croyais que j'allais m'amuser très longtemps avec mon super magique Colorola!
Mais mon oncle Claude, qui commençait à être un peu pompette, dans un éclat de rire, s'est assis sur mon Colorola. Ça a fait un gros « crack » et il a tellement trouvé ça drôle, les autres aussi d'ailleurs. Il y avait juste moi qui ne riais pas tellement. Il a dit : « C'est à qui la bébelle, ben, le restant de bébelle? » ce qui a fait rire encore plus les grands alentour. J'ai dit : « C'est à moi! » et il a répondu : « Ah, c'est pas grave, mon oncle Claude va t'en acheter un autre! » et il avait ajouté, « C'est Nouel! » en se servant un autre verre. Ma tante Yvonne y avait vu le signal pour entonner sa chanson de circonstance qui me rend toujours joyeuse et nostalgique « C'est Nouel dans notre beau petit village, c'est Noël ici comme ailleurs, à l'église de notre beau petit village... ».
Pour chanter, il y en a qui « se faisaient prier » mais ils finissaient par se laisser convaincre, comme Maman qui chantait « Elle avait des bagues à chaque doigt, un tas de bracelets autour des poignets et puis elle chantait de sa belle voix qui sitôt m'enjôla, elle avait des yeux, des yeux d'opale qui me fascinaient qui me fascinaient, y avait l'ovale de son visage pâle, une femme fatale qui me fut fatale... » ou bien « Enfant du voyage, ton lit, c'est la mer, ton toit, les nuages, été comme hiver, ta maison, c'est l'océan, tes amis sont les étoiles, une fille aux cheveux d'or, perdue dans le vent du Nord...». Grand-Papa, lui, quand il se levait debout, qu'il nous faisait un clin d'oeil et qu'il se dépliait du haut de sa grandeur, on savait qu'il était le plus heureux des hommes d'avoir toute sa famille autour de lui et qu'il nous dirait sa petite phrase, « êtes-vous heureux, là? Bon ben, si vous êtes tous heureux, moi aussi! » et qu'il nous chanterait la sienne « On arrêtera le télégramme, la langue des femmes, jamais! » dont je voudrais bien retrouver les paroles...
Toutes les chansons des Iles de la Madeleine y passaient, ainsi que les classiques de la famille « Les Immortelles », « Partons la mer est belle » chantés en harmonie à plusieurs voix, plusieurs guitares, mon oncle Marcel, ma tante Denise, mon oncle Paul, ma tante Gertrude, toujours un moment presque solennel. Mon oncle Hilaire tapait du pied à s'en user les talons avec « Le p'tit bal chez Jos Brûlé », la maison en tremblait, si on était chanceux, mon oncle Ti-Charles, allait nous faire avec un tas de grimaces et de sous-entendus, « Oh, Belle vous y avez une belle tite couisse, oh belle, vous y avez » mon oncle Raymond, mon oncle Edwin, ma tante Bernadette, ma tante Pauline et toutes les chansons de mer, de bateaux, de capitaines et de matelots, notre histoire et notre folklore madelinot, avec ses complaintes et ses harmonies, cette mer qui berce et qui nourrit, on ne pouvait jamais se résoudre à aller se coucher. Des fois, trop rarement, Papa nous jouait un petit reel d'harmonica que mes oncles accompagnaient au vol et enrobaient si richement, comme s'ils avaient pratiqué ensemble.
Noël, c'était ça, un temps de réjouissances, de retrouvailles familiales, de musique, de rires, de chansons, d'histoires, de moments passés ensemble à s'aimer sans se le dire. Mais on communiquait dans notre musique. On n'aurait jamais manqué la messe de minuit, sinon, Noël n'aurait pas eu de sens mais la fête reprenait de plus belle après et je ne me souviens plus quand est-ce qu'on allait se coucher mais je me rappelle que les cousines, on dormait toutes ensemble dans la petite chambre de la machine à coudre, en haut, dans le même lit toutes les quatre et qu'on riait jusqu'à ce qu'on tombe endormies et épuisées, bercées par la musique qui se continuait en bas parce que les grands, ils se couchaient pas, je pense...
Finalement, je voulais vous parler d'autre chose complètement et je me suis égarée en chemin, trop plongée dans mes souvenirs de ces Noël qui n'existent plus. Mais je me reprendrai lors d'un prochain billet, je crois, où je vous raconterai un peu comment je fais pour garder aujourd'hui le meilleur de cette « saison des réjouissances » et toujours mon âme d'enfant. Et pour conclure l'histoire de mon défunt Colorola, ben... mon oncle Claude n'avait pas tenu sa promesse mais j'avais espéré longtemps, très longtemps. Ça m'avait appris quelque chose d'important : quand on fait une promesse à un enfant, il faut toujours la tenir, sinon, on peut lui briser le coeur...
39 commentaires:
Mon premier souvenir de Noël,c'est à Matagami...les cadeaux de la Mine.
Tous réunis dans une grande,grande salle (j'ai 4 ans) et on appelle chaque enfant un par un pour recevoir son cadeau.Je suis très nerveux et on annonce JOCELYNE TURBIDE, je ne bouge pas, ma mère me dit je pense que c'est toi!Je croise mes bras et y é pas question que je bouge...Poussé par chez pas quoi je m'en vais en avant je me contient pour pas brailler et on me remets....un fer à repasser et une sacoche.
J'entends mon frère rire encore plus fort que toute le reste de la salle,pis là je fond en larme.
Mais contrairement à ton colorama, moi j'ai reçu un beau tonka comme mon crampé de frère quelques heures plus tard! et ainsi me réconcilier à jamais avec Nouel!
Hum... Ça n'existe plus beaucoup ces parties des fêtes qui n'en finissaient plus. Il me semble qu'on a perdu le sens de la fête. Il n'y a plus de musique ni de jeu. J'ai une cousine de la basse cote-nord marié à un gars des ILES et je sais que eux c'est encore les party d'antan. On dirait que tous les habitants des îles jouent de la musique.
Es-tu déjà allé aux iles Zoreilles?
@ Jocelyn pas de e : Ben oui, pauvre ti chou, je m'en souviens encore avec le coeur gros... Il me semble que je te revois, t'arrachais le coeur, tu voulais pas y aller en avant... C'est pas drôle un ti chou de 4 ans qui se retient pour pas brailler. Mais quand t'avais vu le fer à repasser pis la sacoche, je pense que j'ai braillé avec toi, mon ti frère! Y avait juste Yves qui trouvait ça drôle. Maman savait pu quoi dire. Moi non plus. Ils ont dû se le faire dire à la mine Orchan! C'est p't'être pour ça qu'on a déménagé de Matagami l'année d'après? En passant, mon cadeau effouairé, c'était pas un Colorama, c'était un ColoROLA. Très important pour moi, mon COLOROLA. Fais attention, je pourrais me mettre à brailler!
@ Gaétan : Ouep! Tout le monde a la musique en héritage aux Iles, ils viennent au monde avec ça. En fait, mes parents sont tous les deux originaires de Hâvre-aux-Maisons, Iles de la Madeleine, donc, mes grands-parents, oncles, tantes, sont tous madelinots. Oui, je suis déjà allée aux Iles et je suis due pour y retourner!
M'essecuze pour ton Colorola que j'ai débaptiser....Cette conversation me rappelle François Pérusse avec son "fatalatapouette"
C'est dommage que ces Noëls soient disparus, mais il reste au moins le souvenir. À la ville, éloignés de la famille les Noëls sont plus tranquilles.
Kliss que c'est plaiiiisaaant (accent du Lac) de te lire, surtout quand tu reviens en arrière. J'ai connu quelques années semblables dans la famille de la mère de mes enfants. C'était à Ste-Marguerite-du-Lac-Masson dans les Laurentides, fin des années 70. Une belle gang de fous, mais sans la musique des veines de ta bande. Je m'ennuie de ces orgies de sentiments plaaaaisaaants où les ti-boires (comme tu dis)libéraient la timidité naturelle de plusieurs convives habituellement plus réservés et nous les montraient sous un autre angle. Jamais de conflits dans ces nuitées folles, ce qui est surprenant dans de telles circonstances fortement éthylées.
Bonne et belle 2008 Zoreille.
Belle soirées que nous avons connu pendant des années, avec les ti-boires et les danses jusqu’ aux petites heures du matin. Souvent ça commençait avant la messe de minuit. L’église était pleine à craquer et dans les bancs arrière et au jubé quelques-uns uns étaient déjà gagnés par morphé!!! Il faut dire que les sermons étaient assez longs à cette époque.
Je me souviens d’avoir reçu un beau tonka jaune et rouge avec une belle tite benne dans mes jeunes année et juste cela avait comblé mon cœur d’enfant. Je me souviens moins des autres cadeaux, mais celui-là je ne l’ai jamais oublié…
Dommage pour ton colorola et ton ti-coeur d'enfant.
Passe un beau Noēl ainsi que ta famille
C'est vrai que Noël ça a toujours quelque chose de spéciale... Je ne suis peut-être plus en âge de croire au père-noël, mais personne ne peu m'empêcher de croire que la magie de noël, ça existe!! Je sais pas pourquoi, mais ça rend tout le monde heureux!!
@ Joce : T'es ben mieux de t'essecuzer, je suis très susceptible au sujet de mon Colorola! Et puis, il faut que je te le dise, j'ai tellement hâte de vous voir la bette les 25-26, ça me donne des ailes!
@ Solange : Oui, ils sont disparus ces Noël d'antan mais rien ne nous empêche d'en conserver le meilleur. C'est drôle de constater le peu de place que prenaient les cadeaux dans ce temps-là. On dirait que trop de consommation vient tuer littéralement la magie de Noël même chez les enfants...
@ Crocomickey : C'est vrai, dans nos réunions de famille pourtant bien arrosées, jamais jamais de disputes et j'en retiens que la musique rapproche énormément, c'est toujours si rassembleur. D'autres ont connu autre chose. Alors, une autre idée à retenir : la musique rassembleuse! Bonne et belle 2008 à toi aussi, Croco!
@ Macamic : Ah oui, des fois, le fun était pogné au jubé ou en arrière de l'église, pour ceux qui étaient debout et qui sortaient en cachette sur le perron prendre un p'tit gorgeon, ça devait se faire à Macamic aussi? Si ton bonheur de l'époque se définissait par un beau Tonka jaune et rouge avec une tite benne, je me demande bien ce qui l'incarnerait aujourd'hui mais je t'en souhaite tout plein. Un magnifique Noël à toi aussi, ainsi qu'à tes amours!
@ Noémie : Sais-tu pourquoi tu crois toujours en la magie de Noël? C'est parce que tu es toi-même une magicienne. Ensemble, nous avons recréé quelques traditions qui nous sont maintenant chères et nous partageons tout ça avec simplicité et chaleur. J'ai hâte de te voir, de vous voir, le 25, à Val-d'Or. Grand-Maman ne pouvait pas nous faire plus beau cadeau que de nous rassembler dans cette auberge. Elle aussi, elle est pas mal magicienne des fois...
Ta belle histoire m'a ramenée dans le temps. Il y avait aussi la hiérarchie de l'escalier chez ma grand mère maternelle. Comme chez toi, les parents mangeaient à la table et les enfants dans les marches de l'escalier. Sauf que moi, j'étais un peu et même pas mal plus basse que toi dans la hiérarchie, donc plus haute dans les marches... J'avais au moins 10 cousins et cousines ayant la priorité des marches mais ce qui me consolait, c'est qu'il y en avait autant en arrière de moi. On allait chez mes grands parents pour le dîner du 25, on n'allait pas souvent du côté de mon père parce que dans le temps la Beauce, c'était bien loin de Québec et partir à 9 dans l'auto, c'était toute une expédition. Et c'est bien dommage parce que du côté de mon père, j'aurai aussi été la deuxième comme toi pour la priorité dans les marches....
joyeux noel et que la magie de cette fête soit éternelle dans nos coeurs.
Soisig qui perd toujours son mot de passe, lol.
Moi je me souviens que je me plaignais à ma mère, que nous, on avait jamais de la visite à Noël... sans penser à sa peine à elle, toute seule en Abitatibi! Sa famille au Lac Masson dans les Laurentides ou à Montréal et celle de mon père de "l'autre bord"... On accueillait les "autres de l'autre bord", les esseulés, ça faisait plus de monde... Et on s'amusait quand même!
Quand la température le permettait, on faisait le tour du village en ski de fond! C'était magique avec les flocons qui tombaient. Ensuite, on faisait des tournois de dards (pauvre porte!) et de hockey sur table tout en prenant un tiboire, hihihi! Me souviens des biscuits Ritz avec du fromage en rondelles: un must à l'époque, hihihi!
Ce Noël mon grand gars vient de Montréal mais ma fille se réchauffe en Nouvelle-Zélande (sans sa valise qu'on lui a égarée).
Ce seront des fêtes tranquilles où j'accueille tous ceux qui sont seuls dans la famille et les amis! Du plaisir et de la jasette en masse!
JZoreilles, je te souhaite de l'amour, de l'amitié, de la jasette en masse en ce temps des Fêtes! Joyeux Noël à tous!
Soisig
Aujourd'hui,
Qu'est-ce qui remplacerais bien le ti tonka?
Une belle BMW SPORT!!!! POUR ALLER FAIRE DES BEAUX TI-TOUR EN ABIZOUNI PEUT-ÊTRE
JE N'EN AI PAS LES MOYENS, BIEN SUR.
Je me contente d'une tite chevrolet.
Et si je demandai au ti-père Noēl ?
Hum! Pas une mauvaise idée ça ! en!
@ Voyageuse du monde : Je savais bien que mon histoire d'enfants dans les marches trouverait des échos quelque part chez toi! Je pense à toi ce soir, dans la belle région des Laurentides, à Joannie qui s'en ira dès demain avec son amoureux sur la Côte Nord, à Christian qui passera les fêtes avec toi et je vous imagine heureux ensemble à déguster ce que tu as préparé et ouvrir de jolis paquets bien enrubannés. Que cette joie se continue tout au long de ta saison des fêtes, particulièrement lors de ton voyage en Beauce, dans la famille de ton cher Papa. Bisous à toute ta petite famille de toute notre petite famille!
@ Soisig : Tu vois comme l'histoire se répète, tu fais comme ta Maman jadis, tu accueilles chez toi les esseulés... Grand coeur, ma chère toi, je te reconnais bien là. Ta famille paternelle « de l'autre bord », c'était la Belgique si je me souviens bien? Je te souhaite aussi de très joyeuses fêtes. Tu sèmes de l'amour, Soisig, t'es certaine d'en récolter...
@ Macamic : Oh la la, Monsieur Macamic a des goûts luxueux! Et si le Père Noël te rapportait un autre ti Tonka jaune et rouge avec une benne, tu retrouverais ta joie d'enfant? Quoiqu'il en soit, je te souhaite de très joyeuses fêtes à toi ainsi qu'à ta famille, retrouvez tous votre coeur d'enfant, BMW ou pas!
Et si on se faisait tous ensemble un échange de cadeau...virtuel.
Moi j'ai une sacoche et un fer à repasser à donner.Y a t-il quelqu'un qui voudrais le prendre, histoire de conjurer le sort!
De Soisig
De "l'autre bord", c'est la Bretagne et les cousins. "Nedeleg laouen ha bloavezh mat"... Joyeux Noël et Bonne année!, en breton... Ah! Internet, comme tu facilites les choses pour trouver les mots, hihihi!
Je pense que c'est pas mal Québécois et Abitibien de recueillir les âmes en peine lors des événements spéciaux! Moi j'aime bien!
bon là, je retourne à mes fourneaux! Grosses bises!
Merci Jocelyn, mais je n'en veux pas de ton fer: déja toute petite, je "charriais" les roches dans mon carosse...pour faire les chemins de mes frérots! Alors... bonne chance, lol!
À l'époque tant de gens jouaient d'un instrument. Les gens chantaient. Puis l'électronique, les chaines stéréophoniques ont remplacé les musiciens. Et pourtant, quel plaisir que de faire de la musique, même de façon rudimentaire.
Mais tout de même, dans mon esprit un vrai Noël n'inclut pas la parenté. Trop d'oncles saouls, de mains baladeuses, de propos incendiaires... de ça on s'en souvient moins.
Accent Grave
@ Jocelyn : Oui, mon p'tit frère, je l'accepte ton cadeau virtuel, le fer à repasser et la sacoche, surtout que les sacoches, dans notre famille, c'est vraiment le mauvais sort, rappelle-toi que la seule chose que j'ai volée dans ma vie, c'était la sacoche-pour-jouer-à-madame de Patsy Leblanc quand j'avais 5 ans! (La petite maudite, elle était allée brailler à M'man...) Maintenant, j'en aurai une bien à moi, ça va conjurer le mauvais sort... pour nous deux!
@ Soisig : J'aurais dû me souvenir, c'était de la Bretagne et non pas de la Belgique. Tu es généreuse, tu cuisines pour tout le monde, je t'imagine aux fournaux... Le partage, c'est la vraie magie de Noël et je suis convaincue que ça subsistera toujours pour peu qu'on oublie le côté mercantile de ces fêtes de fin d'année. Joyeuses Fêtes à toi, Soisig, à tout ton petit monde, de l'Abitibi jusqu'à la Nouvelle-Zélande...
@ Accent Grave : Nous avons de la chance, la musique, on se la fait encore nous-mêmes en certaines occasions. Dans ma famille, il y a ma belle-soeur et moi qui aimons la guitare et les chansons, parmi nos enfants, nous avons au moins 2 musiciennes, Isabelle et Noémie, et je sens qu'il s'en ajoutera d'autres... De la musique achetée, ça peut être très beau mais ce n'est pas pareil.
Vous avez bien saisi que mon titre sous-entendait quelque chose de plutôt... amer et un peu cynique. En effet, les fêtes de famille comportent toutes sortes de situations délicates et je comprends que plusieurs les évitent. Néanmoins, je vous souhaite de vivre d'heureux moments avec ceux que vous aimez. Sincèrement!
Je voudrais vous souhaiter un joyeux temps des fêtes.Je suis certain qu'avec toute la bande d'amis que vous avez , cela sera facile.
Que l'année qui arrive vous apporte
sérénité et bonheur.
Au plaisir de vous lire
Alain
Joyeux noêl, passe de bonnes fêtes
@ Alainsteadele : Comme c'est gentil. Oui, avec la famille et les amis, effectivement, on ne risque pas de s'ennuyer. La vraie richesse, c'est le temps et les gens qu'on aime. C'est aussi ce que je vous souhaite pour ce temps des fêtes et tout au long de l'année!
@ Marc : La distance qui nous sépare (le sud de la France et le nord-ouest du Québec) est si peu palpable quand on peut communiquer à partir de qui on est vraiment, du fond de notre âme, avec nos souvenirs et nos espoirs. À vous également, de très joyeuses fêtes!
Joyeux Noël chère Zoreilles!!!
Bonjour Zoreilles,
Mes souvenirs de Noël, je ne peux en conter aucun, car il y en a trop. À la maison nous avons encore au moins une de ces soirées.
Nous sommes 13 enfants avec nos parents. Donc, imaginez qu'il y a de l'action pour le souper de Noël.
La musique, le bruit et la cacophonie il y en a et en profitons beaucoup.
Je tenais à vous souhaiter à toi et ta famille de Joyeuses Fêtes.
Que la nouvelle année puisse vous apporter tout ce dont vous souhaitez et aussi le plus important : LA SANTÉ !!
bisous à tous
Un très beau Noël à toi Zoreilles et à toute ta famille!
Le mien a été très beau aussi, j'ai finalement revu des étoiles dans les yeux de mes grands malgré toute leur incrédulité, parfois à Noël les miracles arrivent...
La neige en est devenu un et dans tout ce décor blanc c'est encore plus Noël!
Les enfants assis dans l'escalier ce devait être bien beau. Pas de photos de ça?
Allez, je vais manger des restes, amusez vous bien sur votre belle patinoire!
J'espère que ces fêtes se déroulent aussi bien que tu le souhaitais.
Que de beaux souvenirs tu nous contes là!
Cette année ma fille et moi avons eu la chance d'être invitées dans une famille mexicaine pour la nuit de Noël... génial et très festif. Cela m'a rappelé les Noëls de mon enfance, car dans ma famille européenne aussi ça fêtait fort.
Au Québec nous étions trop peu nombreux (juste mes trois enfants et moi) pour faire de gros partys de Noël et je reconnais que cela m'a beaucoup manqué...
Joyeux Noël en retard et j'espère que le nouvel an se passera tout aussi bien!
@ Renart l'éveillé : Il fut assez joyeux en effet! Merci pour tes voeux et permets-moi de vous souhaiter, à toi et à ta Douce, en 2008, la réalisation de votre désir : un enfant...
@ Anonyme : Hé toi, je crois que je te reconnais! Treize enfants, on ne voit pas ça si souvent... Merci pour tes voeux. À toi et ta famille également, de joyeuses fêtes! Le plus important, c'est bien ce que tu dis : LA SANTÉ.
@ Bibco : Que je suis contente, tu as revu les étoiles dans les yeux de tes enfants, tu ne pouvais donc espérer vivre plus beau Noël. Pour les enfants que nous étions dans l'escalier chez Grand-Papa, la seule photo que j'ai, c'est un instantané couleur pour mon ti-coeur, ce genre de photo souvenir qu'on embellit probablement avec le temps...
@ Gaétan : T'es vraiment gentil de t'en informer! Tout se déroule bien différemment de l'époque de mon Colorola effouairé par mon oncle Claude et des Noëls de mon enfance mais c'est ben correct de même! Aujourd'hui, je comprends les choses différemment et j'en parlais justement avec ma mère à Noël, qui me disait : « Je suis bien contente que tu aies eu ces impressions-là parce que pour nous autres, les adultes, c'était pas de même qu'on vivait ça! ». Pour dire vrai, nous avons dû, Crocodile Dundee et moi, nous sauver dans le bois ces derniers deux jours, histoire de reprendre notre souffle avant que tout recommence. Ma saison des fêtes ne ressemble plus du tout à celle de mon enfance... parce que je ne suis plus une enfant, enfin, presque plus. Depuis plusieurs années, j'ai dû renoncer à l'aspect trop commercial des fêtes pour être capable de vivre cette période sereinement, en privilégiant les rassemblements, les soupers de familles et d'amis, l'esprit de la fête et du partage, tâcher de mettre de l'ambiance et du bonheur dans tout ça mais comme nous vivons dans le monde, avec beaucoup de monde (!) je dois constamment m'adapter, essayer de comprendre et je suis confrontée à mes valeurs les plus profondes. Autrement dit, ça me demande beaucoup d'efforts et d'adaptation. J'avais prévu écrire un billet là-dessus (comment survivre aux fêtes?...) mais je ne le ferai pas, par crainte de faire de la peine à des gens, alors que c'est la dernière chose au monde que je voudrais...
@ En direct des îles : Merci à toi et mes meilleurs voeux également pour cette prochaine année qui s'annonce pleine de soleil, chaque fois que tu viendras me visiter ou que j'irai chez toi. Ce Noël vécu dans une famille mexicaine, je t'envie un peu, tu sais. Ceux vécus avec tes enfants au Québec devaient être fabuleux aussi. Dis-toi bien qu'un rassemblement monstre comme ceux que je décris et que je reproduis encore chez moi, ça te priverait d'une intimité familiale que j'aimerais bien connaître un jour.
Pour continuer la réflexion sur les noel d'antan je trouve justement qu'ils ressemblent de moins en moins à ceux d,antan. C,est simple il n'y a plus d'enfant. Nous avons fêté le 25 chez mon fils et même si nous une étions une 20 aine de personnes (la famille de ma bru était là) nous étions tous des adultes sauf mes 2 neveux qui en arrivant ont descendu au sous-sol sw collecter sur play station ou autre gadget. Noel n'est même plus la fête des enfants c'est devenu une rencontre obligée ou on s'informe de la nièce qui étudie à l'extérieur ou de la maladie de la matante qu'on voit jamais. Anyway j'ai averti mes enfants gendre et bru que c'était le dernier noel que je leur faisais des cadeaux qu'à l'avenir je leur ferais un cadeau n'importe quand dans l'année selon mon feeling du moment. Sur ce, bonne continuation des fêtes. Pis en passant si j'avais un camp dans l'bois j'pense que j'y sacrerais mon camp entre 2 soupers des f^tes -)
Pis en passant si on fait un effort tout le monde je pense qu'on peut monter la page des comm. à Zoreilles à 50 sur ce billet. -)))
@ Gaétan : Si j'étais payée à commission, je serais super contente de ta dernière suggestion!!!
;o)
Ton compte rendu de ce Noël avec les deux familles est assez représentatif de ce qu'on peut vivre aujourd'hui. J'ai beaucoup de chance, dans ma famille, les enfants grandissent avec des valeurs qui ressemblent beaucoup aux miennes, où je me reconnais. J'ai toujours rassemblé chez moi nos deux familles aussi, ça semblait faire l'affaire de tout le monde! J'ai appris dernièrement que non, ça ne faisait pas l'affaire de tout le monde, au contraire. Il y a des dynamiques familiales très différentes d'une famille à l'autre, des problématiques, des traditions, des façons de comprendre les choses qui sont à l'opposé complètement...
En t'écoutant, il me vient à l'esprit plusieurs questions d'ordre général : Est-ce que c'est acceptable que des enfants (ou ados) s'isolent de la fête pour se brancher pendant des heures sur des jeux électroniques ou l'Internet? N'avons-nous pas une responsabilité à cet égard quand ce sont nos enfants? Le message que je reçois dans ce temps-là, c'est « Je vous méprise tellement que je ne peux me résoudre à passer une heure en votre compagnie ». Est-ce qu'on n'aurait pas tué l'enfance (et l'innocence) en inondant ces petits de montagnes de cadeaux qu'ils déballent pendant des heures jusqu'à en être écoeurés? Est-ce que les fêtes ne sont pas devenues une suite d'obligations où l'on passe du temps avec des gens avec qui l'on partage si peu de choses?
Anecdote du temps des fêtes 2007 : Crocodile Dundee est un menuisier qui travaille en partenariat avec un autre excellent menuisier, Jano, ils font une équipe incroyablement efficace, très axée sur la satisfaction du client, c'est leur véritable salaire. Ils se donnent beaucoup dans leur travail. Les patrons offraient cette année le souper (avec conjointes) dans un bon resto avec la soirée et tout. Les gars (CD et Jano) ont gentiment décliné l'invitation. Pas question. Les patrons ont changé la date, ils ont insisté. Mon équipe de menuisiers a encore gentiment remercié les patrons, expliquant que... le 22 décembre, ils avaient d'autres obligations, les conjointes également. Ils se sont fait répondre : « Ce serait un affront pour nous si vous ne veniez pas! ». Donc, nous sommes allés, Jano, sa femme, CD et moi. On a « fait du temps » jusqu'à 22 heures. C'est ça, la magie de Noël?
Soisig a dit
Mon Noël à moi est maintenant fait de tant d'imprévus! La fille en Nouvelle-Zélande; fiston qui se partage entre maman et papa (heureusement dans les environs); le frérot qui va à Chambly pour voir sa petite-fille (sa maman étudie à plein temps sans temps d'arrêt) et c'est bien correct; la Mémé qui va avoir 89 ans, qui vit seule en appartement et à qui on a défendu de recevoir; un autre frérot qui partage aussi ses filles avec leur mère; les autres frérots au loin...
Bref les temps changent: d'une vingtaine, on est passé à 4, 5 ,6 selon les années! Et je dois dire que j'apprécie cette nouvelle intimité: les souvenirs sont là, mais les gens présents sont tout aussi chaleureux et ça vibre à l'unisson devant un bon repas!
Le 31, on sera 10 et on fera quelques jeux après la fondue. Il n'y a plus de jeunes enfants, mais tout le monde participait aux jeux, aux histoires, petits et grands. Ici, la télé a toujours été fermée... On enregistre!
Faut dire que même l'été au lac Pajegasque, il n'y avait pas de téléphone et pas de télé... la sainte paix! J'ai de bons lecteurs maitenant, hihihi!
Bonne année 2008 Zoreilles, à toi et à ta famille, et à toute la gang qui se retrouve ici . Qu'elle soit porteuse d'amour, de nouvelles traditions, de petits bonheurs, d'amitié et surtout de santé!
bisous, Soisig
@ Soisig : J'aime ta façon de voir les choses, tu t'adaptes si bien à ces nouvelles situations que nous imposent nos vies un peu plus éclatées.
Tu l'auras remarqué sûrement mais mon titre, « Noël, la saison des réjouissances... » cadrait assez mal avec la photo de ma petite qui pleurait à fendre l'âme dans les bras du Père Noël tout décontenancé. Ça se voulait sarcastique! Les Noëls de mon enfance, s'ils ressemblent à ce qu'ont vécu plusieurs qui ont mon âge, ne se vivent plus du tout comme ça aujourd'hui, tout simplement parce que si nous disons que Noël est la fête des enfants, on ne s'occupe pas tellement de leur faire vivre de belles choses et on les inonde de cadeaux et d'attentions, pour en faire des petits rois. Ainsi, on tue en eux la candeur, l'espoir, l'innocence, l'attente fébrile, l'imaginaire, etc. A-t-on le droit de leur faire ça? D'ailleurs, nous ne sommes plus des enfants tellement nous-mêmes, quoiqu'on essaie de le rester toujours un peu...
Mais je voulais aussi démontrer que les montagnes de cadeaux, la consommation à outrance, l'individualisme, les obligations qui nous sont imposées ou qu'on s'impose (celles-là sont bien pires) et toutes ces rencontres superficielles qu'on bâcle en vitesse sont bien plus dévastatrices que tout le reste.
Pour moi, si cette période ne se déroule pas dans un esprit de générosité et de partage, d'affection, de simplicité et d'authenticité, alors, ces fêtes n'ont plus de sens. Et pour beaucoup de gens qui l'expriment à leur manière, je crois que les fêtes n'ont plus aucun sens et ne sont plus qu'une suite d'obligations. Je lutte beaucoup pour ne pas sombrer là-dedans et j'y arrive encore mais tout juste!
À toi aussi, Soisig, et à tous ceux et celles qui passent par ici, je veux souhaiter une Bonne et Heureuse Année 2008, remplie de paix, santé, amour, et du temps, beaucoup de temps pour vivre tout simplement!
Et j'ajoute mon petit conseil d'amie : Rapprochons-nous de la nature, c'est encore ce qu'il y a de plus vrai!
31 décembre, dernier jour de 2007. J'ai lu tous les commentaires et je vois que même dans le monde dans lequel on vit, tout le monde souhaiterait revivre la vraie magie de noel. Certains y arrivent encore, d'autres essaient et parfois, il y en a qui ont baissé les bras.
J'avoue que je suis de celle qui croit encore à la magie de noel pour ce qu'il est une fête de rassemblement familial, un partage de joie, de fun. Mais cette année, j'étais de celle qui avait baissé les bras.
depuis que mes parents sont décédés, comme je suis l'ainée, il était presque normal que le réveillon du 24 décembre soit chez moi. Mais une grosse famille, ça amène aussi des divergences d'opinion et souvent tout le monde voulait le réveillon à leur façon alors que moi j'avais d'autres idées. Souvent je finissais par céder pour ne pas briser l'esprit des fêtes.
Cette année, décision ferme, je ne fais rien. Je n'ai invité personne et pour être certain, une de mes soeur m'avait invité à souper pour le réveillon avec mon fils.
Mais voilà que lors d'une visite chez mon frère, ma soeur qui m'avais invité, se voit confronté à mes neveux qui tristement lui disent, comment ça que cette année ma tante Sylvie a oublié de nous invité chez elle, d'habitude, on y va toujours et on aime tellement ça. Alors, ma soeur a eu le coeur brisé et 4 jours avant noel, on a organisé un réveillon où chacun apportait sa part de bouffe. Et finalement, on ne l'a pas regretté, tout le monde y était, 22 au total. On a ri, bien mangé et bu raisonnablement, joué à des jeux et comme ma mère l'avait toujours fait, j'avais acheté un petit cadeau, pas cher pour tout le monde. Les enfants comme les adultes ont apprécié ce noel organisé à la dernière minute par quelqu'un qui en fait voulait passer tout droit cette année. Quand je me suis couchée vers 5h00 du mat, j'étais épuisée mais heureuse.
Noel, c'est avant tout la fête de la famille et quand on a la chance d'en avoir une, il faut l'apprécier et en profiter.
Bonne année Zoreilles et gros calins virtuels. Tu a été une des premières à me recevoir dans la blogosphère et ça c'est important. Un jour j'irai te voir à vélo.
C'est arrivé comme ça : je suis tombé par hasard sur l'Accent Grave. Comme un cadeau des Fêtes. Je remonte tranquillement les billets depuis février 2006. Comme les biscuits si savoureux de nos matantes... You know what I mean Zoreilles ... Fiou ! Quel bonhomme tripant !
@ Voyageuse du monde : Donc, tu as aimé tes fêtes? Je crois qu'il s'agit peut-être de ne pas avoir trop d'attentes. Enfin, c'est un début de réflexion! Bonne Année à toi, je t'écris plus longuement très bientôt. Bisous et câlins en attendant.
@ Gaétan : Ah oui? J'ai été parmi les premières? J'ai toujours eu le pif pour savoir reconnaître les talents! Tu viendras me voir à vélo? T'es pas game! Toujours un plaisir de te croiser, ici ou ailleurs. Bonne et Heureuse Année à toi aussi.
@ Crocomickey : Je suis parfaitement d'accord avec toi et ce qui serait formidable, ce serait que tu lui écrives ça aussi à lui et chez lui, au cas où il ne passerait pas par ici ces jours-ci. Ce serait dommage qu'il ne sache pas tout le bien que tu penses de ce qu'il écrit...
C'est déjà fait ma chère ...
C'est qui ton ami Barb...faudrait que tu m'explique ça.Je t'avoue que je ne comprends rien de son message???
Des faux numéros ça existe tu dans les blogues?
Joce
@ Joce : C'est pas un faux numéro, c'est bien plus une arnaque qu'autre chose j'ai l'impression mais je le laisse là quand même, au cas où ce serait une preuve pour retracer ceux qui « spament » ces pourriels sur n'importe quel site.
Tu penses bien que si j'avais une amie Barb, elle me connaîtrait assez pour ne pas s'adresser à moi en anglais, c'est vraiment pas poli!!!
Ah mon p'tit frère, heureusement que tu veilles sur moi... et sur mon blogue. Non mais vraiment, je te thank you comme dirait ma tante Bernadette!
Bon, bon bon... j'ai voulu explorer les archives (idée que j'ai depuis longtemps) alors j'ai été au plus vieux, en 2007. Je déclare en partant que dans le match Isabelle vs Père Noël ta fille gagne mon point... Le Pére là, il n'a pas des yeux très "Noël" sur la photo. J'espère qu'elle lui a pincé les cuisses!
Et puis je suis content de souscrire à la suggestion de Jocelyn (je crois) avec le mien ça fera 40 commentaires.
J'ai été séduit par la hiérarchie des marches plus que tout... Jamais entendu parler.
Eh! 2007 en décembre je revenais d'Afrique et j'essayais difficilement de m'acclimater. Me semble que ça fait deux éternités. J'ai eu ton récent message, ne t'en fais pas. Les cartes ça vit mal en aller-retour souvent les plus belles se portent à merveille dans les cas de destination unique. Bonne continuation pour ton réconfort aux malades, ça teintait ta voix alors je t'émets des pensées-vitamines. Becs de Noël
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