Cette photo donne de l'éclat et du relief à l'un des sentiers entourant notre camp à Rapide Deux et quand je tombe dessus, je ne peux m'empêcher d'y voir une allégorie au chemin de la vie que nous choisissons d'emprunter avec ses montées, ses descentes, ses tournants, ses obstacles, ses changements de direction et son apparente infinitude... Mon réflexe premier, en forêt comme dans la vie, c'est bien souvent de marcher hors du sentier, dans la belle mousse épaisse restée intacte. Comme pour me rappeler qu'en dépit de tous les chemins qu'on m'a tracés, je défendrai toujours farouchement ma liberté de suivre ceux où je reconnaîtrai ma voie...
Un chemin peu fréquenté
On ne dirait pas ça à me voir ou à me côtoyer mais c'est vrai, j'ai toujours aimé sortir des sentiers battus. Comme enfant, adolescente, jeune femme, amoureuse, mère, travailleuse, j'ai toujours réussi à fonctionner très bien à l'intérieur des balises plus ou moins précises de la société dans laquelle je vis. Fonctionner, oui. Mais pour m'épanouir, il me fallait davantage, j'avais besoin de me sentir libre.
Même que j'ai compris ça très jeune. Sur mes cahiers d'école, alors que les autres filles dessinaient et écrivaient des prénoms de gars, des visages d'acteurs, des groupes de musique, etc. j'écrivais tout le temps cette maxime : « Celui que tu aimes, laisse-le libre. S'il te revient, il est à toi, s'il ne te revient pas, c'est qu'il ne t'a jamais appartenu ». J'avais l'impression que quelqu'un qui saurait ça de moi n'aurait pas besoin d'en savoir plus!
Avec Crocodile Dundee, c'est probablement ce qui a fait durer et s'épanouir nos amours. La liberté. Celle qu'on chérit, qui n'est pas négociable, qu'on autorise à l'autre sans qu'il ou elle ait besoin de la défendre ou de l'imposer. Pour son bonheur et son épanouissement. Nous sommes très épris de liberté. Je ne parle pas ici de la possibilité de papillonner ailleurs, notre définition de la fidélité n'a jamais eu à souffrir d'une quelconque remise en question, ce que je considère comme une chance incroyable en 32 ans de vie commune.
On se dit souvent combien nous avons eu de la chance l'un et l'autre de nous trouver. D'ailleurs, je n'avais pas été perspicace, il s'en est aperçu avant moi, il a toujours été intuitif! Si dans une relation amoureuse, je m'étais sentie étouffée le moindrement, j'aurais rué dans les brancards de toutes mes forces. Pour lui, c'est exactement la même chose, il suffoque rien que d'y penser. Alors, la petite phrase que j'écrivais avec tellement de conviction sur mes cahiers d'école au secondaire, elle représentait bien ce que j'étais, ce que je voulais, ce que j'attendais des relations affectives qui allaient jalonner le chemin de ma vie.
Toutes les autres, celles où l'on a atteint à ma liberté, allaient être vouées à l'échec ou à une indifférence polie de ma part. Chaque fois que j'ai quitté un travail, ou refusé un client, chaque situation où j'ai espacé les visites et les appels, où je me suis investie à la limite prudente de mes obligations et responsabilités, où j'ai senti ma très chère liberté menacée, j'ai eu un besoin viscéral de briser mes chaînes.
33 commentaires:
Zoreilles,
On ne dirait pas ça à me voir ou à me côtoyer mais c'est vrai, j'ai toujours aimé sortir des sentiers battus.
J'ai le regrêt de te dire que tu cache mal ton jeu. Ce que tu dis qu'on ne dirait pas de toi, je crois qu'on le dirait tous.
Tu es une fille de la nature, une fille libre dans le bon sens du terme. Si tu n'étais pas aussi éprise de liberté, tu serais installée dans un gros bureau d'une firme de consultant, à gros salaire. Tu aurais une BMW.
Tu es riche, mais ta richesse est ailleurs. Tu la partages avec nous, tu nous entraines sur des sentiers que tu nous fait découvrir. Et c'est pas demain que l'on va arrêter de te suivre, au risque d'arriver face à face avec un chevreuil.
Tu es unique et tu nous donnes l'impression que nous le sommes aussi.
Je suis assez d'accord avecc Télécino...
Quant à moi, le terme « appartenir » me fait frémir. Je lui préfère celui d'engagement. Mais je comprends ce que tu veux dire.
Zed ¦)
@ Jacks : Ah oui? Tu crois qu'on sait que j'aime sortir des sentiers battus et que j'ai tant besoin de liberté, de m'appartenir? C'est si évident que ça? Tu vois comme je suis naïve, je pensais vous révéler tout un scoop! Mais surtout, j'aurais aimé savoir si d'autres ressentaient le même besoin que moi.
@ Zed : Le terme appartenir n'est pas fidèle à ma pensée non plus mais à l'adolescence, si j'aimais le concept, j'avais moins de vocabulaire! Aujourd'hui, je mesure mieux le pouvoir des mots. Déjà, s'appartenir soi-même, c'est tout un défi. J'ai toujours compris que personne ne pourrait jamais m'appartenir, je n'aurais pas voulu ça non plus, surtout pour mon amoureux, mon enfant, etc. Alors, dans le cas inverse, si quelqu'un exerce une emprise sur moi, par chantage émotif ou en jouant sur ma culpabilité, c'est là que j'étouffe et que je voudrais faire péter mes chaînes. Les relations saines pour moi sont celles où l'on se sent libre.
Ta réflexion me fait penser à un commentaire très inspirant de Pierre Bourgault sur la capacité de la personne libre à tout abandonner pour recommencer à neuf, sur le plan professionel, sans aucun regret.
@ Henri : J'ignorais que Bourgault avait déjà traité du sujet, tu me l'apprends. Professionnellement, tu as déjà vu que je peux faire péter mes chaînes sans aucun regret. Et sans faire de bruit. Comme en l'an 2000! Peux-tu croire qu'aujourd'hui ce sont de beaux souvenirs? J'ai tellement appris là-dedans et puis, j'en n'ai conservé que le meilleur, un ami...
D'après ce que j'ai lu de toi, ce que tu dis est bien présent dans tes articles.Pour qu'une union marche bien il faut un respect mutuel des goûts et libertés de l'autre. Cela s'applique aussi au travail et entre amis.
@ Solange : Oui, les relations saines (amours, familles, amitiés, travail, voisinage, passions, etc.) doivent être empreintes de liberté et de respect pour demeurer épanouissantes.
@ Modotcom : Au moins, j'aurai réussi à te surprendre, toi! Tu crois que je ne suis ni opportuniste ni égocentrique, c'est gentil... Mais pour l'indépendance, si tu savais, j'ai tellement encore de chemin à faire (hors des sentiers battus!...) Il y a des situations où l'on n'est PAS LIBRE moralement de dire non.
Bien agréable de lire ce texte....moi aussi j'aime marcher hors des sentiers battus...la liberté dans l'amour est une valeur sûre...vivre et laisser vivre......dans le respect du cheminement de chacun...!!!
bise
ly
Si joli ce texte... Il y a dans votre propos ce si précieux équilibre entre liberté et obligation. Traditionnellement, on a tendance à opposer ces deux concepts: on ne peut être à la fois libre et obligé. Eh bien oui!
La liberté, personnelle, conjugale, professionnelle et que sais-je n'est précieuse que parce qu'elle ne s'exerce et ne se vit que là où nous avons des responsabilités.
La liberté est précieuse parce que elle suppose toujours un "MAIS" qui lui apporte son lot de conséquence. J'ai la liberté d'aller forniquer aliieurs, MAIS... J'ai la liberté de tout balancer au boulot, MAIS... J'ai la liberté de négliger mes amis, MAIS...
Pour ma part, y'a dans ce "MAIS" toute la beauté de la liberté.
À vous lire, tant dans vos rapports professionnels que dans votre vie de mère ou d'épouse, et pour peu que je puis en témoigner, il y a cette conscience du MAIS qui rend votre liberté si précieuse.
@ Ly : C'est donc là (hors des sentiers battus) que tu poses tes pieds et ton regard pour nous rapporter de si merveilleuses photos?
@ Omo-Erectus : Je vous le redis, c'est un bonheur de vous revoir! Intéressant ce point de vue qui met en opposition (ou en complémentarité) liberté et engagement... Ce MAIS, comme vous dites, qui rend la liberté si précieuse, qui lui confère son importance et qui lui donne tout son sens. Je ne savais pas comment traiter de ce sujet qui me tient à coeur, je suis restée beaucoup dans l'abstrait sauf quand j'ai donné un exemple d'une relation saine dans ma vie, empreinte de liberté, mais entre les lignes, je supposais que chacun de nous y lirait sa propre vision, y apposerait ses images, ses personnes chères, ses relations affectives, professionnelles, amicales, etc. Toutes mes relations ne sont pas aussi saines que celle que j'ai citée en exemple, vous vous en doutez bien. Je n'ai pas atteint cet équilibre. Mais je prends conscience de certaines choses et je continue d'avancer... hors des sentiers battus!
La liberté est une de mes plus grandes richesses. Un besoin vital.
Il y a quelques années je suis tombée sur une citation de Rabelais. Je l'ai fait imprimer et depuis, je l'ai sous les yeux chaque jour:
"L'homme qui est libre doit revenir à la seule nature qui nous commande un plein épanouissement du corps et de l'esprit, sans peur des limites, des bornes et de ce qu'à tort, on appelle excès."
Sage, ce texte ma Zoreilles, très sage... La liberté est un besoin viscéral et tu as su le combler. Crois-moi : sortir des sentiers battus, j'en sais quelque chose et tout comme toi, jamais je ne regrettrai mes choix. Et dans cette liberté, il y a toujours cette soif de vivre, ce besoin de plonger dans la vie et, par-dessus tout, ce devoir que nous avons de vivre pleinement nos potentialités... Je traduis très "librement" ;) une citation de Ray Bradbury qui va à peu près comme suit : Il faut sans cesse se jeter du haut des falaises et se doter d'ailes durant sa chute. Je t'embrasse fort et t'aime gros, Zoreilles !-)
Rosie
xoxoxoxox
bonjour,
entre deux travaux d'université je suis venue te lire.
Bonne journée à toi! Isa
Rosie,
Tu as toujours de ces citations...!
Zed :)
@ Contes de fée : Toi aussi, hein? Je me pose la question en te lisant : est-ce que ce besoin viscéral serait une caractéristique des travailleurs(ses) autonomes?
@ Rosie : Important, viscéral même, pour toi aussi, la liberté? Tu diriges ton entreprise, il y a un lien tu crois? J'aime beaucoup cette citation mais je la trouve un peu... extrême! Si tu me prêtes une paire d'ailes, je suis prête à me jeter en bas de la falaise...
@ Isa : En tout cas, pour toi, ce texte, ça devait être comme du radotage! Avec cette fin de session qui te prend beaucoup d'énergie, et petite Félixe qui n'arrête pas de faire des culbutes et des cabrioles, qui fait de la trampoline dans ta bedaine, ça me touche que tu viennes encore me lire. J't'ai tu déjà dit que j't'aimais, toi?
Zoreilles,
Pour moi, le plus surprenant ce n'est pas ton billet et la révélation que tu nous fais de toi. Non. C'est plutôt la surprise que tu as ressentie en pensant qu'on ne pouvait te voir comme ça.
Pour moi, Zoreilles, c'est une fonceuse qui défonce ce qu'elle a le goût de défoncer. C'est un personnage racé, fièr de ses racine et tenant solidement les guides d'un cheval sauvage.
C'est aussi l'écirivaine publique qui donne des mots à ceux qui en cherchent pour décrire leurs émotions, la dernière des vraie.
@ Jacks : C'en est touchant... Les amis, les vrais, nous aiment inconditionnellement, ils prennent nos petits travers, les magnifient et ils en font de grandes qualités, pour nous rendre meilleurs. Je ne suis pas fonceuse, Jacks, pas du tout. Entêtée parfois, ça peut-être. Pour l'écrivain public que j'ai été, ça me colle à la peau, on m'appelle encore souvent comme ça, c'est vrai. Ça me fait plaisir et me bouleverse en même temps. Si j'avais été indépendante de fortune, je pratiquerais encore ce métier, les besoins sont immenses... Qu'on pense aux petites entreprises qui ont besoin de se faire connaître, aux plans d'affaires qui sont formidables mais dont les promoteurs n'arrivent pas à expliquer leurs idées avec des mots de fonctionnaires. Tiens, je devrais rédiger un billet prochainement pour décrire quelle était ma clientèle, j'adorais ces gens-là, j'aimais m'effacer pour leur donner toute la place qu'ils méritaient, à eux-mêmes, à leurs projets. J'avais l'impression de réparer des injustices, de créer des liens indissolubles entre des gens, de fabriquer du bonheur, de la reconnaissance, d'aider certains projets à voir le jour, etc. On m'a dit souvent dans ce temps-là que mes mots avaient fait la différence et ça, c'est le plus formidable accomplissement qui soit.
Zoreilles,
C'est une très bonne idée ce billet. Vraiment, le sujet est charmant. J'ai hâte de le lire.
Je viens de voir le débat
Dommage que Mario Dumont n'ait pas de parti solide en main. J'admire son art de communiquer et d'emprunter des chemins peu fréquentés.
J'ai utilisé volontairement un style épique pour te représenter. Mais je conserve mon idée: tu sais t'affirmer clairement, gentilment, mais sans compromis. C'est ce qu'il me fait dire que tu es une fonçeuse en opposition à une suiveuse. Autrement dit, tu as du leadership.
C'est beau la liberté mais, et là je vais aller à contre-courant, on en a pas toujours les moyens. Parfois, à certains moments de la vie, à certaines occasions, il faut rester, même si on se sent pris, même si ça ne rend pas profondément heureux, il faut continuer, faire encore un bout en se disant que ça ne durera pas toujours. j'aimerais bien avoir la liberté de changer de chemin, au travail, dans ma vie, mais pour l'instant, parce que je me dois à des personnes qui comptent pour moi, c'est impossible. C'est un choix d'une autre sorte, même si je ne me sens pas libre en le faisant.
Il y aura d'autres sentiers et d'autres petites descentes en pentes douces et alors, peut-être pourrais-je m'y glisser, ou peut-être pas.
Mais une chose est certaine, la liberté, c'est beau et heureux qui comme toi Zoreilles décident de se la donner.
Salut à toi
Pas le temps de commenter mais toujours là! Jamais assez pressé pour ne pas te lire!
Je suis tellement à la course que j'oublie même d'écrire mon nom...WOW ça va faire......bien sûr c'est ton petit frère
@ Jacks : Du leadership? Ah là, ça se peut, tu ne te trompes pas, on m'a souvent dit ça, au primaire, au secondaire, dans des groupes de travail, etc.
@ Bibco : Ton commentaire m'a bouleversée, Bibco, je me reconnaissais trop dedans... La liberté, le choix, par opposition à l'emprise que d'autres ont sur nous, sur nos vies... Je ne voulais pas donner l'impression que j'y étais arrivée, que j'avais pigé le truc, mais plutôt que j'y avais toujours cru. J'ai donné l'exemple d'une relation saine, ma vie amoureuse, c'est quand même beaucoup, j'en suis consciente, j'aurais pu parler aussi de ma relation avec ma fille, avec l'un de mes frères, avec mes amis(es) et dans mon travail maintenant. Volontairement, parce que mon blogue est personnel sans être intime, je n'ai pas voulu parler de celles qui donnaient envie de péter mes chaînes avec une rare violence que je ne veux pas tourner contre moi-même. Relis mon dernier paragraphe avec d'autres yeux, tu comprendras que c'est proche d'un cri de détresse.
@ Joce : Heureusement que t'es toujours là et qu'on se comprendrait même sans se parler. J'aime toujours que tu me fasses un clin d'oeil. Et puis, je t'avais reconnu! ;o) et x x
Bbonsoir Zoreilles
Les miennes me font mal de ce temps-là... et je ne parle pas des élections! ;)
De tous les commentaires que je viens de lire ce soir, celui de Bibco est celui que je partage le plus! Ma liberté commence ou finit celle de l'autre (ou des autres), c'est ce que je me suis toujours dit et c'est ce qui m'a limité parfois. Même aujourd'hui, il y a encore des impondérables...
J'avais bien senti tes états d'âme dans le dernier paragraphe... Il faut toujours se protéger, n'est-ce pas?
encore un très beau texte qui fait réfléchir. Je suis assez d'accord avec OMO-ERECTUS. La liberté oui mais. Pour ma part, j'ai appris que la liberté a toujours un prix et que parfois c'est chèrement payé. Au bout du compte la liberté apporte du positif, mais avant il y a souvent des sentiments mélangés comme la peine (la sienne et celle des autres),le renoncement, certains deuils, certains choix qui découlent de cette liberté si chèrement gagné parfois comme la solitude, le déchirement. La liberté pour certains est même gagnée au prix le la mort. Mais elle en vaut quand même la peine, aucun être vivant et j'inclus humains et animaux ne devraient être privé de ce droit fondamental.
Oui c'est un joli texte et je comprends parfaitement ce que tu veux dire. Un petit salut de loin
@ Soisig : Je me doutais bien que tu comprendrais ces états d'âme en lien avec les atteintes à notre liberté... Il faut parfois le vivre pour le comprendre jusque dans les moindres détails. Nous avons beau y avoir toujours cru, avoir mis en place ce qu'il faut, avoir fait nos choix de vie en fonction de ça, avoir inculqué ces valeurs à nos amours, nos enfants, arrive un moment où l'on a l'impression de ne plus s'appartenir du tout parce qu'au-delà de notre liberté, nous avons aussi le sens des responsabilités, le goût de prendre soin de ceux qui ont besoin de nous, qui nous tendent les bras, vieillissants, inquiets, malades, insécures, démunis.
@ Voyageuse du monde : La liberté oui mais... à quel prix? Oui il y a des deuils, des renoncements auxquels on ne peut même pas se permettre de rêver, même pour s'appartenir. Sinon, on vivrait dans la plus grande culpabilité, ce serait encore pire. Déjà qu'en faisant de notre mieux, on n'en fait jamais assez, tous les aidants naturels du monde savent ça. C'est paradoxal que ceux qui se dévouent le plus sont justement les mêmes qui se demandent toujours s'ils en font assez et ce sont ceux et celles qui s'investissent le plus dont on attend le plus.
@ Marc : Merci pour votre visite, cette chère liberté revêt un caractère universel!
liberté.....amour...ammitié................bonheur... communication...sincérité...respect....tous des mots-clés bien important en relation...!
bisous
ly
"C'est paradoxal que ceux qui se dévouent le plus sont justement les mêmes qui se demandent toujours s'ils en font assez et ce sont ceux et celles qui s'investissent le plus dont on attend le plus."
Et je rajouterais que ce sont ceux qui se font le plus critiquer en plussss!
MAIS toujours cette soif de liberté comme le dit si bien Rosie... est là, bien là, heureusement! On va faire des ti-vieux et tites-vieilles "cool", hihihi!
@ Ly : Des mots-clés qui sous-entendent tous les gestes et attentions qui font la différence! Très sage, chère Lady!
@ Soisig : C'est ce que je me dis souvent, on va faire des belles tites vieilles, je pense! Un peu délinquantes peut-être? Bah, tu vas voir qu'ils vont nous laisser tranquilles, nos enfants, on pourra faire tout ce qu'on veut, ils seront trop occupés!!!
bonne journée.....j'ai pensé un instant qu'une personne avait vissé les champignons...lol
bise
ly
merci pour ta gentille invitation dans ta cuisine....ça sent encore le bon pain...;)
passe de belles Fêtes...et plein de bonheur avec tes parents et amis..
bisous
ly
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