J’ai pris cette photo l’été dernier, lors de l’événement annuel se déroulant dans le beau village de La Motte, en Abitibi. L’événement n’est pas beaucoup publicisé mais il est quand même bien connu ici, il a ses fidèles, ses inconditionnels de « La Route du terroir » qu’ils viennent marcher d’un bout à l’autre du village situé sur les bords du lac La Motte. Pour l’occasion, le village se pomponne, se met sur son 36 et affiche ses plus belles couleurs.
L’événement ne dure qu’une journée et il permet aux gens du secteur et d’ailleurs de se rencontrer, d’échanger, de participer ou de regarder passer la parade de l’après-midi, de déguster tout le long des deux axes principaux du village des nouveautés, des recettes secrètes, des trouvailles, de festoyer sous le chapiteau, avec les musiciens de la place, de découvrir de nouvelles cultures biologiques, des produits de chez nous, nature ou à peine transformés, des créations originales d’artistes et d’artisans en tout genre et tout ce qui constitue le génie et la particularité de ces gens qui ne savent plus quoi inventer pour nous recevoir comme de la grande visite.
J’aime les villages. La vie dans les villages. Les gens des villages. J’idéalise peut-être un peu comment ça se passe quand on y vit en permanence, le sens de la communauté tissée serrée que j’observe dans leurs moindres petits gestes, leur esprit de solidarité qui semble y survivre mieux que dans les villes, petites, moyennes ou grandes.
Le village typique de l’Abitibi, comme je le perçois, a une histoire jeune, autour de 75 ans, c’est parce que l’Abitibi compte à peine 100 ans d’existence. Le village est né en même temps que son église, avec son clocher qui s’élance vers le ciel, sinon, comment on saurait que c’est un village? À La Motte, comme ailleurs, l’église s’est transformée en salle communautaire, avec l’atelier de tissage dans le jubé, la salle de spectacle en bas avec ses bancs et sa scène amovibles et on jase encore en masse sur le perron de l'église! À côté, on trouve le cimetière, des pierres tombales avec des dates dessus, parfois trop rapprochées, des fleurs en été, et ça raconte l’histoire du village, une histoire sans paroles, où l’on peut entendre le souffle des pionniers, ceux qui ont trimé dur pour nous inventer ici un pays, pour peu qu’on s’ouvre le cœur, les yeux et les zoreilles.
Ensuite, le village a sa petite école, qui aurait bien besoin de rénovations mais on s’en passe, on rafistole avec les moyens du bord, on est débrouillard, on ne se fie pas sur les gouvernements, puisqu’ils ne savent même pas qu’on existe, on se bat plutôt pour qu’elle ne ferme pas ses portes, on l’endure comme elle est, on la tient à bout de bras, à force d’implication et de levée de fonds, on fait des enfants aussi, on sème, on s’aime, on est habitués de semer (s’aimer) pour récolter, on ne l’a pas appris sur les bancs de l’école mais à la dure, on sait qu’il faut s’arranger tout seuls. Les gestionnaires des commissions scolaires carburent aux directives sur papier, aux statistiques et aux projections bien plus qu’aux besoins réels des enfants, on sait ça depuis toujours dans les villages.
En face de l’école, en général, il y a le magasin… général, où l’on vend de l’essence, des denrées non périssables, des journaux et magazines, de la « liqueur », du fumage méchant-méchant qu’on cache derrière des portes closes, comme les condoms d’ailleurs, de la bière qu’on expose allègrement, comme les billets de loterie, au grand jour, des raques de chips, des cartes de souhaits empoussiérées dans le fond, à côté des bottes de pimp et des articles de pêche, du fil à coudre numéro 10, des gallons de peinture, de la chaux, des pantoufles d’indiens, des raccords de plomberie, des rallonges électriques, des piles Duracell, etc. Et quand on pousse la porte, si on est chanceux, on entend le « pacling pacling » suspendu au-dessus de la porte comme l’horloge Pepsi…
Le village d’ici a sa Caisse Populaire. C’est le minimum de base. Elle n’est pas souvent ouverte, la Caisse, mais c’est comme pour l’école, on n’ose plus rien demander, on a peur de se la faire fermer. Alors, on se la ferme!
Et puis, dans chaque village, des noms de famille plus courants que d’autres, les petits-fils et petites-filles des pionniers de l’endroit, ces mêmes patronymes qu’on retrouve sur les pierres tombales du cimetière. Un cours d’eau qui traverse le village, c’est très courant aussi, un lac ou une rivière, un « creek », n’importe quoi, on n’est pas difficile là-dessus. Alors, il y a souvent un pont, et parfois, on le fleurit, on l’enjolive, parce qu’on en est fier. Il représente tellement de choses.
À partir du centre-ville, je devrais plutôt dire du centre-village, ça s’en va dans tous les sens, on sillonne les chemins du bord de l’eau, en se demandant si ce sont des chalets ou des résidences à l’année, on longe les rangs qui portent des numéros, les routes rurales, les terres plus ou moins fertiles, les vailloches de foin qui ont pris la forme de belles grosses guimauves, les granges à moitié effouairées, les calvettes qui agonisent et les croix de chemin. Et ce que j'aime, moi, c'est de lire les noms sur les « boîtes à malle »... Là se trouve une grande partie de notre Histoire, celle qu'on ne lit pas dans les livres, celle qu'on ne nous a pas appris à l'école, celle qu'on est en train d'écrire, justement. Ça me fait penser que j'aurais toujours voulu m'abonner à « La Terre de chez nous », je devrais m'offrir ça pour ma fête!
L’événement ne dure qu’une journée et il permet aux gens du secteur et d’ailleurs de se rencontrer, d’échanger, de participer ou de regarder passer la parade de l’après-midi, de déguster tout le long des deux axes principaux du village des nouveautés, des recettes secrètes, des trouvailles, de festoyer sous le chapiteau, avec les musiciens de la place, de découvrir de nouvelles cultures biologiques, des produits de chez nous, nature ou à peine transformés, des créations originales d’artistes et d’artisans en tout genre et tout ce qui constitue le génie et la particularité de ces gens qui ne savent plus quoi inventer pour nous recevoir comme de la grande visite.
J’aime les villages. La vie dans les villages. Les gens des villages. J’idéalise peut-être un peu comment ça se passe quand on y vit en permanence, le sens de la communauté tissée serrée que j’observe dans leurs moindres petits gestes, leur esprit de solidarité qui semble y survivre mieux que dans les villes, petites, moyennes ou grandes.
Le village typique de l’Abitibi, comme je le perçois, a une histoire jeune, autour de 75 ans, c’est parce que l’Abitibi compte à peine 100 ans d’existence. Le village est né en même temps que son église, avec son clocher qui s’élance vers le ciel, sinon, comment on saurait que c’est un village? À La Motte, comme ailleurs, l’église s’est transformée en salle communautaire, avec l’atelier de tissage dans le jubé, la salle de spectacle en bas avec ses bancs et sa scène amovibles et on jase encore en masse sur le perron de l'église! À côté, on trouve le cimetière, des pierres tombales avec des dates dessus, parfois trop rapprochées, des fleurs en été, et ça raconte l’histoire du village, une histoire sans paroles, où l’on peut entendre le souffle des pionniers, ceux qui ont trimé dur pour nous inventer ici un pays, pour peu qu’on s’ouvre le cœur, les yeux et les zoreilles.
Ensuite, le village a sa petite école, qui aurait bien besoin de rénovations mais on s’en passe, on rafistole avec les moyens du bord, on est débrouillard, on ne se fie pas sur les gouvernements, puisqu’ils ne savent même pas qu’on existe, on se bat plutôt pour qu’elle ne ferme pas ses portes, on l’endure comme elle est, on la tient à bout de bras, à force d’implication et de levée de fonds, on fait des enfants aussi, on sème, on s’aime, on est habitués de semer (s’aimer) pour récolter, on ne l’a pas appris sur les bancs de l’école mais à la dure, on sait qu’il faut s’arranger tout seuls. Les gestionnaires des commissions scolaires carburent aux directives sur papier, aux statistiques et aux projections bien plus qu’aux besoins réels des enfants, on sait ça depuis toujours dans les villages.
En face de l’école, en général, il y a le magasin… général, où l’on vend de l’essence, des denrées non périssables, des journaux et magazines, de la « liqueur », du fumage méchant-méchant qu’on cache derrière des portes closes, comme les condoms d’ailleurs, de la bière qu’on expose allègrement, comme les billets de loterie, au grand jour, des raques de chips, des cartes de souhaits empoussiérées dans le fond, à côté des bottes de pimp et des articles de pêche, du fil à coudre numéro 10, des gallons de peinture, de la chaux, des pantoufles d’indiens, des raccords de plomberie, des rallonges électriques, des piles Duracell, etc. Et quand on pousse la porte, si on est chanceux, on entend le « pacling pacling » suspendu au-dessus de la porte comme l’horloge Pepsi…
Le village d’ici a sa Caisse Populaire. C’est le minimum de base. Elle n’est pas souvent ouverte, la Caisse, mais c’est comme pour l’école, on n’ose plus rien demander, on a peur de se la faire fermer. Alors, on se la ferme!
Et puis, dans chaque village, des noms de famille plus courants que d’autres, les petits-fils et petites-filles des pionniers de l’endroit, ces mêmes patronymes qu’on retrouve sur les pierres tombales du cimetière. Un cours d’eau qui traverse le village, c’est très courant aussi, un lac ou une rivière, un « creek », n’importe quoi, on n’est pas difficile là-dessus. Alors, il y a souvent un pont, et parfois, on le fleurit, on l’enjolive, parce qu’on en est fier. Il représente tellement de choses.
À partir du centre-ville, je devrais plutôt dire du centre-village, ça s’en va dans tous les sens, on sillonne les chemins du bord de l’eau, en se demandant si ce sont des chalets ou des résidences à l’année, on longe les rangs qui portent des numéros, les routes rurales, les terres plus ou moins fertiles, les vailloches de foin qui ont pris la forme de belles grosses guimauves, les granges à moitié effouairées, les calvettes qui agonisent et les croix de chemin. Et ce que j'aime, moi, c'est de lire les noms sur les « boîtes à malle »... Là se trouve une grande partie de notre Histoire, celle qu'on ne lit pas dans les livres, celle qu'on ne nous a pas appris à l'école, celle qu'on est en train d'écrire, justement. Ça me fait penser que j'aurais toujours voulu m'abonner à « La Terre de chez nous », je devrais m'offrir ça pour ma fête!
L’histoire de chaque village est semblable et différente à la fois. Chacune recèle ses fiertés et ses misères, ses pionniers, ses exploits, ses conteurs, ses héros, ses artistes, ses patenteux, ses légendes, ses noms de lieux évocateurs et pittoresques, ses petits secrets, ses rumeurs, son fou du village, ses vieux sans âge, au langage coloré, ses vieilles qui savent encore tisser, tricoter, jardiner, faire de tout avec rien, vous accueillir avec une tasse de thé dont elles ont le secret, qu’elles vous offrent avec un sucre à la crème sorti d’une boîte de fer blanc, décorée d’une scène d’autrefois qu’on peut encore deviner, qui nous ramène au temps où la vie était plus simple, beaucoup plus simple.
La période des vacances s’amène prochainement. En vous rendant à votre destination touristique préférée, si j’étais vous, je sortirais de l’autoroute le plus souvent possible pour prendre les routes secondaires, celles qui traversent tous les villages, je m’arrêterais au magasin général, juste pour prendre le pouls des gens qui y vivent. Prenez le temps de regarder ces maisons victoriennes, ces belles d’autrefois avec des galeries immenses où l’on peut parfois s’asseoir et commander un café. Juste pour le plaisir d’observer les boiseries, les dentelles de bois, les fleurs vivaces qu’on ne trouve plus ailleurs, la créativité de ces gens qui font le Québec d’aujourd’hui.
Quant à moi, je partirai en vacances du 22 au 29 juin prochain. Je survolerai l’immensité de mon cher Québec, de l’Abitibi-Témiscamingue aux Iles de la Madeleine, et quand l’avion s’approchera des Iles, que je pourrai apercevoir du hublot l’archipel en forme d’hameçon, que l’avion se posera à l’aéroport de Hâvre-aux-Maisons, village natal de mon père, ma mère, et tous mes grands-parents qui y ont vécu depuis 1789, en provenance des Iles Saint-Pierre et Miquelon, quand j’entendrai partout autour de moi cet accent madelinot qui me manque cruellement, je saurai que je suis revenue aux sources et j’aurai le cœur ému de mille choses, reconnaissante à la Vie.
51 commentaires:
Un dernier Hello avant de cogner mon verre contre le tien aux Iles la semaine prochaine. En passant, j'ai pas vu la photo sur ton post ...
Eh Salut
Ta photo n'apparaît pas....
Bravo (encore une fois) chère Zoreilles...
Ce texte devait être écrit!
Les p'tits villages sont le dernier vestige de l'humanitude, des relations à l'échelle humaine, des contacts quotidiens personnalisés. Les p'tits villages respirent et permettent à leurs citoyens de respirer. Les p'tits villages sont une bouffée d'air frais dans une société qui étouffe.
@ Crocomickey : Ton départ s'en vient plus vite que le mien, t'as toujours eu un pas d'avance mais je vais te rattraper, tu verras, on s'y rejoindra comme on a dit pour faire retentir un « pacling pacling », plus réel que virtuel, c'est promis! À vous trois, je souhaite... une belle envolée!
@ Joce : Je le sais que ma photo n'apparaît pas, mozusse, j'ai bûché une heure de temps pour l'inclure, pourtant, c'est pas compliqué d'habitude, je n'y arrive plus, je dois m'être enfargée dans un piton, mais lequel? C'est devenu impossible de mettre une photo pour tous mes futurs billets aussi, j'ai essayé même de recommencer... T'sais, ti-frère, l'informatique et moi, ça s'arrange pas! Et tu te souviens des belles photos qu'on avait prises, à la Route du terroir de La Motte? On était ensemble...
@ Guy : Merci. Et la photo aurait dû être là, sinon, beurk, c'est tellement trop tout nu! On dirait un paquet de lettres mélangées, il me semble qu'elles n'ont plus de sens...
@ Henri : Ah c'est tellement vrai, ce que tu écris là, t'as mis des mots sur ce que je pensais exactement. Drette ça!
Je lis ton texte et je me retrouve en imagination dans le village de ma jeunesse à Fugèreville au Témiscamingue. Tu as vraiment des dons pour décrire des personnes, des activités ou des lieux qui redonnent vie à nos souvenirs.
P.S. Ta photo n'est pas dans le fichier source de ton blogue; il y a une référence au blogue lui-même quand on clique sur le titre : On attèle la jument pis on descend au village!
Pour les clochers d'église... en cyclotouriste c'est souvent ça qui nous indique si on est loin du village car dans beaucoup de régions du québec on peut les voir de loin. Souvent aussi c'est à partir de ces lieux (cours d'église)que la beauté du paysage est à son meilleur.
Ton cling-cling quand on entre dans des magasins générals m'a bien fait rire. C'est tellement typique de ces petits villages....
Bon voyage aux îles....
@ P.-É Larivière : Fugèreville, oui, je connais bien cet autre beau village. Merci pour votre chaleureux commentaire. Dans votre P.S. vous me mettez sur une piste que j'ai explorée, j'ai encore essayé de mettre une photo mais n'y arrive toujours pas. C'est comme si mon blogue était déprogrammé en partie de sa mise en page, l'icône image est toujours là mais elle ne répond plus...
@ Gaétan : Attention, Gaétan, ce n'est pas cling-cling mais pacling pacling, si tu t'en souviens bien! C'est toute une différence. T'as déjà vu aussi sur la porte, une barre d'aluminium blanche, posée à 45 degrés, avec dessus une bouteille de 7-up et un slogan dépassé, imprimés en vert : « 7-up, ça ravigote! ». Cette année, les Iles, l'an prochain, TA Côte Nord!
Mes parents viennent de Kamouraska et à tous les étés nous y allons. De Québec à Kamouraska nous prenons la route qui passe par les villages qui longent le fleuve c'est de toute beauté. Il y a dans ces petits villages l'essence de nos origines.
On dirait un paquet de lettres mélangées, il me semble qu'elles n'ont plus de sens...
T'es trop dure avec toi, ou bien t'es déstabilisé parce que c'est ton premier billet sans photo, mais, non, non, ce n'est pas un paquet de lettres mélangées.
Tu peux essayer de redémarrer ton ordi, si ce n'est pas déjà fait, et surtout, de te relire, sans photo.
Encore le Normand à Solange au clavier.
Chère Zoreilles, Guy Vandal m'enlève les mots de la bouche... En vous lisant, c'est exactement ce que je pensais: votre billet n'est pas un paquet de lettres mélangées, c'est un des plus beaux textes que j'aie lus sur les villages. Tout y est, même l'odeur ! Et comme vous, j'aime, j'aime que j'aime donc les villages. J'ai bien hâte de voir votre photo, si les choses peuvent rentrer dans l'ordre.
Pour l'anecdote, mon grand-oncle maternel (Henri Paré) a été le curé-fondateur de La Ferté de 1934 à 1940. Par la suite il a été curé de St-Félix-de-Dalquier, Palmarolle et La Sarre où il est décédé en 1966.
Pardonnez-moi ce "mémérage" (je dirais bien "pépérage", mais bon...).
Un simple bonjour pour signaler ma présence... J'écoute
Je ne comprends pas que personne ne voit cette magnifique jument qui va si vite qu'elle tire avec elle toutes les photos du blogue.
:0)
Un autre petit truc. Change le nom de ta photo et prends soin que la fin se termine par .jpeg ou .jpg (c'est pareil) et recommence le téléchargement. Des fois, quand il y a un bogue du genre, le fichier ne veut plus entrer quand il porte le même nom que celui qui est corrompu.
Blogger a eu des problèmes dernièrement. Je devais copier-coller en format HTML pour arriver à mes fins. Ce n'est probablement pas toi qui es en cause.
Zoreilles, j'ai particulièrmenet aimé ton passage sur le cimetière. Et j'adore, moi aussi, ces maisons victoriennes en dentelles. Les courbes, c'est la nature.
Quel magnifique voyage ce sera. C'est vrai que ton anniversaire arrive à grands pas... le 1er! Je ne vois pas le temps passer. Tu fêteras donc ce merveilleux anniversaire par un voyage extraordinaire. Wow... que d'émotions ce sera...
Tu nous raconteras, j'espère, ces iles où les gens sont si chauds, à ce qu'il parait.
Déjà un an et demi que tu blogues, Zoreilles, tu te rends compte?
L'an dernier, tu nous parlais de ton sirop de sapin, d'Isa qui déménageait avec sa grande amie parce qu'elle allait à l'université et cette année Isa est... ailleurs, dans sa vie!
Bon voyage, chère Zoreilles, Zed xox :)
C'est probablement la jument qui a saboté ton ordi, par timidité, pour que sa photo n'apparaisse pas. Il faudrait en choisir une nouvelle, si tu tiens à illustrer cette belle histoire, qui fait naître mille et une images, grâce à la magie de tes mots. Ceci dit, photo ou pas, c'est toujours un bonheur renouvelé de te lire Zoreilles !
Bon voyage dans les Iles; ce sera vraiment un retour aux sources pour toi. Que l'air du large balaie les soucis et que la musique des vagues berce tes rêves! Bon, la poésie et moi ça fait deux, mais tu comprends ce que je veux dire. Bon voyage, fille de la mer par tes grands-parents, fille d'Abitibi maintenant, amoureuse de son coin de pays. Et tu as bien raison !
En ce qui concerne tes problèmes techniques avec les photos, à ton retour de voyage, si le problème persiste, je pourrais toujours jeter un coup d'oeil sur ton ordi (sans vouloir m'imposer bien évidemment :-)
L'offre est sur la table.
Quel beau texte...comme toujours.
J'ai la tête pleines de belles images!Tu parle si je m'en rappelle, on avait même réussi à sortir l'ermite de la forêt!!!Et un bon souper terminait notre si belle journée dans les cantons!
Youpi, olé, alleluia, scoudelidou wow wow, mes pitons marchent comme avant, ce matin!!!!!!!!
@ Solange : Quel beau parcours, de Québec à Kamouraska, et le long du fleuve en plus, ça doit être magnifique. Une belle tradition!
@ Guy : T'es trop fin, je te fais un câlin, moi, je trouvais ça drabe sans bon sens sans photo, t'as raison, j'étais déstabilisée, on aurait dit que j'étais en train d'en faire une obsession!!!
@ Normand : Peut-être que vous aimez les villages aussi parce qu'il y a du pionnier et du défricheur de pays dans vos artères! Laferté, St-Félix, Palmarolle, que de beaux villages en effet, à l'histoire jeune, comme vous le démontrez si bien. Mon préféré, c'est Palmarolle. Quant à La Sarre, elle s'ennorgueillit de s'appeler « ville » mais la charmante ville reine d'Abitibi-Ouest offre encore tous les charmes d'un village, je trouve. J'y ai mon principal client, à La Sarre, les gens de là-bas sont vraiment uniques et attachants!
@ Unksgue : Que c'est tentant de t'appeler Jacks, mon vieil ami virtuel du temps des forums de discussion de la Place Publique de Sympatico! Ces forums, nous avions chacun le nôtre, étaient les ancêtres des blogues, à mon avis. Nous étions des animateurs en apprentissage et nous avons vécu ensemble tellement de phénomènes exceptionnels. Et bien réels. Un jour, je raconterai notre histoire. Bienvenue Chez Zoreilles, Jacks, où le hasard t'a mené. Alors, je dis merci au hasard et je t'ajoute illico à ma liste des blogues favoris. Que c'est bon de te « revoir » dans un contexte similaire, cher, très cher Jacks! Mes amitiés à Laure également.
@ Zed : Mes problèmes techniques semblent résolus, je crois. Ma photo était bien une jpeg, comme d'habitude, c'est seulement que les boutons ne répondaient plus. Je n'arrivais même pas à télécharger. Du jamais vu. J'avais tout essayé. Mon anniversaire? Facile à retenir, j'ai eu 50 ans le 07/07/07 mais je ne les sens pas du tout, la plupart du temps! Un an et demi que je blogue... Ça passe si vite en agréable compagnie! Je vous en ai raconté des choses... Mais je me les raconte aussi et parfois, je me surprends à en tirer des réflexions qui m'étonnent moi-même! Bref, mon blogue, c'est un de mes grands bonheurs!
@ Lise : Merci pour tes commentaires et souhaits si tendres. Ce voyage sera ressourçant à plusieurs points de vue, je le sais même avant de partir. Et pour ce billet, pourtant, ma photo n'illustrait pas tant que ça mon propos, c'est juste qu'elle me mettait dans l'ambiance, moi, pour écrire là-dessus. À cause de ce qu'elle évoquait de tendre et doux dans mon souvenir...
@ Henri : Ah, cher ami, je te reconnais bien dans ton offre généreuse sur la table. Le nombre de fois où tu m'as sortie de l'embarras informatique quand nous étions collègues... Tu te souviens? Je crois même que ce fut la base, le début de notre amitié bien réelle. Juste pour ça, je suis ravie d'être toujours aussi nulle en entourloupettes informatiques et virtuelles! Mais l'invitation à venir prendre un café à ton goût (j'achète le mien à l'Abstracto) est quand même sur la table...
@ Jocelyn: Tu vois, c'est justement tout ça qui me berce encore quand je repense à notre belle journée ensemble, à La Motte, l'été dernier. Des images plein la tête et le coeur pour moi aussi : douceur, bonheur, rigolades, découvertes, amour de la vie, plaisir d'être ensemble, et plus encore. J'avais d'autres belles photos mais je n'ai pas osé vous « exposer » Guylaine, Jean-Mi, toi, moi ou l'ermite!
La Motte... Imagines que je suis déjà allé là... Ouais! Au lac... Savais-tu qu'il n'y a presque plus de poisson dans ce lac parce qu'un jour, un hurluberlu a décidé qu'il pêchait... à la dynamite?
En fait, il a tué la presque totalité des poissons d'un seul coup. Ça m'a été raconté par un nommé Baillargeon de Malartic. Ce gars avait un chalet à La Motte...
M'enfin, chaque village a son histoire, belle ou moins belle. Chaque village a ses légendes aussi. Je n'ai jamais su si l'histoire de la pêche à la dynamite était réelle ou inventée...
Bien que trop vrai 7-7-7...
J'étais retournée l'année dernière mais pas assez en détail, il semble.
C'était donc Blogger.
Et je voulais aussi te dire que j'aimerais vraiment voir tous ces produits de la terre, les découvertes bio, et tout. Les gens ne réalisent pas souvent que dans les campagnes, beaucoup de gens cultivent bio maintenant et font des trucs réellement très à l'avant-garde de l'agriculture. Que ce n'est pas juste à la télé. C'est le cas près de Montréal aussi.
Et les écoles de rang... Ça fait rêver, tu sais!
Allez hop! Il faut aller travailler... Zed xx
Bonjour Zoreilles,
je risque un clin d'oeil,
Jacks
Quelle belle description tu nous fait de ton sentie. Ces très visuelle en fait porté sur les cinq sens...
Chose que l’on ne fait plus beaucoup aujourd’hui tellement ont cour après le temps… et que l'on vit dans notre bulle ou avec les Ipods dans les oreilles.
Ont ne prend plus ce temps nécessaire pour goûter et regarder, humer les parfums des alentours et se sentir faire partie de notre univers. Vivre en symbiose avec la vie. Avec calme et paix. Un artiste de talent peu nous faire sentir ces vibration au travers d’un écrit, d’une photo, d’une peinture, un conte, une chanson. Ont peu le sentir dans ton texte. Tu es vraiment brancher sur les vrais choses de la vie.
Presque en même temps que toi je vais faire le voyage en sens inverse pour aller pêcher et habiter un un ptit campe d’Abitibi pour quelques jours.
Je vais suivre ton conseil et prendre le temps de m’imprégner du pays et renouer avec quelques odeurs.
Bon voyage aux Iles Zoreilles
@ Esperanza : Tu connais La Motte? M'étonne pas! Tu as bourlingué pas mal dans notre région. Il y a de si beaux villages au Témiscamingue aussi et ceux-là, tu dois tous les connaître. Ton préféré, ça doit être St-Liguori dans Lanaudière? L'histoire que tu racontes est typique des rumeurs des villages. Je crois que ça ne se peut pas qu'on puisse en une seule fois, même à la dynamite, vider tous les poissons d'un lac, surtout grand comme le lac La Motte. La vie, c'est plus fort que tout, on le sait. Ce Baillargeon de Malartic, c'était pas un conteur, par hasard? On en a des mozusses de bons par ici!
@ Zed : Ah oui, tu aimerais ces produits, je le sens. Des légumes, des fruits qu'on apprend à découvrir (des cassis, par exemple) des fines herbes, des miels, des mélanges de tous ces ingrédients frais, comme du pesto dont je suis accro, absolument divin, qu'ils nous vendent congelé, on en décongèle une cuillère à la fois, ça te ravigote un potage, une pâte ou un riz basmati, ça met du soleil et de la fraîcheur partout. Et ça goûte la Vie! Des écoles de rang, par contre, on n'en a plus depuis longtemps. Mais des écoles de village, c'est pas pire non plus, sauf que, si le petit voisin te tape sur les nerfs ou te garroche des roches, t'es pris avec pour tout le primaire!
@ Unksgue : Je t'envoie un clin d'oeil aussi, Jacks, tu t'acclimates vite à l'ambiance des blogues. Tu verras, c'est un bel univers.
@ Macamic : Depuis très longtemps, je suis sensibilisée à la valeur exceptionnelle du temps qui passe, du temps qui fuit et c'est devenu ma seule richesse. Je voudrais aussi ralentir mon rythme, je fais beaucoup d'efforts en ce sens-là mais j'ai résolu de ne pas attendre une retraite (que je n'aurai jamais) ou le mois prochain, l'année prochaine, pour vivre pleinement, goûter toutes les joies, les rencontres, les bonheurs, profiter de la présence des gens que j'aime, pendant qu'ils sont là et moi aussi. Je ne veux pas avoir de regrets dans la vie, alors, je prends mes décisions en fonction de ça. Je remercie la Vie d'avoir compris ça jeune, fin vingtaine. Ça me touche beaucoup que tu m'écrives que je suis branchée sur les vraies choses de la vie, ça veut dire que j'atteins en partie mon objectif, que j'agis selon mes convictions. Alors, tu reviens à tes sources? Je te souhaite un magnifique séjour dans ton pays et le mien, je sais que tu y seras heureux, il ne peut en être autrement. Bon voyage à toi aussi!
Bien oui Zoreilles, il émane de toi une authenticité vrai. L’important ces de goûter le temps présent ou l’on est en ce moment dans la vie. Et surtout, ne pas dire quand je serai rendu à tel place quand je ferai tel chose alors là je serai heureux.
Ces un bon moyen à coup sur de passer à coté de la réalité. Mais toi comme tu as compris cela jeune, aujourd’hui, il y a plein de richesses en ton être. Alors cultive toujours cette esprit et la vie te le rendra bien un des ces jours.
Je serai dans le parc d’Aiguebelle pour quelques jours fin juin début juillet taquiner un peu le brochet et le doré. J’ai très hâte, comme ça ne ce peut pas….
Aux Iles tu vas entendre le son de la voie des tiens .
Bonjour zoreilles
je suis michèle. tu me demandais mon nom. Enfin tu as réussis à mettre ta photo. Très beau billet
Quel beau billet ma belle Zoreilles ! Tu écris d'une main de maître, comme toujours d'ailleurs ! :-) Je te souhaite un merveilleux voyages aux Îles ! Profite bien de ces doux moments pour te ressourcer, te reposer et t'amuser. Va écouter la voix des tiens que les vagues de l'océan porteront à tes... Zoreilles ;) Et, buvez un verre à ma santé, toi et Croco, quand vous vous rencontrerez là-bas dans ce paradis sur Terre !
Bonsoir Zoreilles
Hier, sur la route du retour de Québec/Montréal, j'ai du emprunter une route secondaire que je ne connaissais pas, à l'approche de Valdor, à cause d'un malheureux accident. Une magnifique route de gravier, parsemée ça et là de splendides lupins en fleurs. Une myriade de couleurs à chaque détour du chemin! J'adore rouler hors des sentiers battus, ça remonte à mon enfance lorsque nous partions en famille, le dimanche, à l'aventure sur les routes de l'Abitibi... La Reine, l'île Nepawa, Guyenne, etc.
Hier, je ne voulais surtout pas retourner à Valdor pour reprendre la route d'Amos. Alors je suis passée par un autre rang qui m'a amené en terrain inconnu encore une fois! J'ai ainsi découvert St-Edmond et ... la charpente de son église qui est à vendre! Finalement, j'ai rejoint Vassan, pour ensuite filer à destination.
Une belle escapade pour enjoliver une journée assez pluvieuse...
Belles et bonnes vacances avec les tiens Zoreilles! Un jour ce sera mon tour, hihihi!
J'essais de m'approcher un peu plus, Zoreilles.
Je vois que tu as toujours le don des mots et l'art de creer des liens chaleureux. C'est agreable de voir tant de beau monde...
@ Modotcom : Salutations à toi aussi. J'en profiterai, c'est promis, de chaque moment, de chaque rencontre, chaque vague, chaque paysage. Tu sais quoi? J'aurais le goût de jouer dans le sable, faire un gros château comme quand j'étais petite!
@ Macamic : La vie me le rend déjà très bien, tu sais. Et à toi, de belles vacances aussi. Le parc d'Aiguebelle, que tu connais bien, c'est un des joyaux de notre région. Bonne pêche!
@ Michèle : Contente de pouvoir te nommer autrement que anonyme, c'est toujours plus chaleureux et personnalisé quand c'est le temps de te souhaiter la bienvenue ou de te « reconnaître » quand tu reviendras faire ton tour ici. Merci pour ton commentaire, Michèle, et au plaisir!
@ Rosie : C'est promis, on aura une pensée chaleureuse pour toi quand on fera chin chin, à la première gorgée, et juste à cette pensée-là, je suis un peu émue et remplie de bonheur, de tendresse.
@ Soisig : C'est magnifique hors des sentiers battus, tu parles à une convaincue, là! L'Île Nepawa, La Reine, tu me fais rêver. J'ai sillonné une partie de l'Abitibi-Ouest avec ma mère, une journée de l'été dernier. Duparquet, Rapide Danseur, Ste-Germaine, Gallichan, Roquemaure, Palmarolle... J'en ai tellement pris des « raccourcis » qui rallongent, c'était une journée inoubliable qu'on a terminée sur le bord du lac Abitibi... Merci pour tes voeux, Soisig.
@ Jackss : Ta photo m'a tellement fait chaud au coeur, de vraies retrouvailles, et quand j'ai vu ta couronne de roi, il me semble que tu avais un dessin comme ça pour t'identifier dans le temps... Ou c'était ta vraie photo déjà? En tout cas, t'apprends vite, mon cher Jackss! Y a du beau monde ici, hein? Ce sera pareil chez toi, en un rien de temps, tu verras!
@soisig
Quand tu as débouché sur la route 111 après St-edmond..As-tu continuer par le rang Pont Champagne?, tu passe sous le pont couvert en longeant une belle rivière,tu rencontre un élevage de cerf Rouge, tu vois une belle campagne, des maisons de pierre et tu rejoins Vassan par l'arrière pays...c'est d'uine beauté digne du National Geographic.
BONNES VACANCES MA BELLE ZOREILLES !!!!!! :-)
Malheureusement non, Joce!
La madame avait quand même dans le corps le trajet et avait quand même hâte de "débarquer" ses passagères et leurs (nombreux)bagages avant d'arriver à bon port! Ce n'est pas l'envie qui manquait, hihihi!
Lors de ma prochaine visite à Vald'or, je l'essaie, promis! Tu me tentes beaucoup, lol! Et j'adore les ponts couverts, nombreux dans mon coin. Et j'apporte mon appareil photo enfin réparé.
En passant, si quelqu'un a un appareil Canon Power Shot A70, il y a un rappel pour changer le capteur gratuitement. On paie l'aller mais la réparation et le retour est payé.
sont payés, je m'excuse!
@ Tous : Que j'aime ça, vous « entendre » échanger entre vous, comme ça, tout bonnement, entre amis(es), suggérer des chemins agréables à suivre, poser des questions et y répondre. J'ai l'impression que mon blogue sera habité pendant que je serai aux Iles et ça me fait chaud au coeur.
Ne vous gênez pas, il y a du café, des tisanes, de la limonade maison au frigo, des p'tites frettes au frette, une bouteille de rouge à peine entamée, les coupes sont là. Faites comme chez vous.
J'habite au bord de l'eau, apportez votre bédingsoute!
Je me sauve, il faut que je commence à faire mes bagages, que je vérifie soigneusement mes billets d'avion, que j'enlève ma lime à ongles de ma sacoche, mes clés, et tout objet anti 11 septembre, que je mette à jour mon compte de banque (il me reste tu kek piasses en cas d'imprévus?...) écrire et poster la carte de fête à Sylvie, (j'ai tu encore des timbres?...) appeler Fred à mon oncle Will, ah oui, faut pas que j'oublie non plus du shampoing petit format, de la FPS 30 pour ma peau blanche, (au pire, j'en achèterai là-bas) c'est vrai, j'avais dit à M'man que je l'appellerais avant de partir aussi(cou'donc, en laissant mon char à Isa hier soir, j'ai mis le certificat d'immatribulation dans le coffre à gants mais j'ai tu mis le papier rose des assurances avec?... J'étais tellement émue de voir la photo de l'échographie que je m'en souviens plus du reste). Ah Petit Mini est déjà si cuuuuute, j'aurais voulu le prendre dans mes bras... Et Crocodile Dundee, a-t-il tout ce qu'il faut dans le congélo?
Je prends l'avion cette nuit, j'ai hâte d'être dans l'avion, ça me ressemble, ça! Faut vraiment que je me sauve, là...
BONNE FÊTE NATIONALE DES QUÉBÉCOIS!
On chante? Les gens de mon pays, ce sont gens de paroles, des gens de causerie, qui parlent pour s'entendre. Ils parlent pour parler, il faut les écouter...
Bonnes vacances Zoreilles et bonne fête à tous les québécois!
Je suis émerveillé de ce que j'ai vu sur ton billet "Pourquoi écrire". Bien que très en retard, j'ai laissé un commentaire.
Je n'ai pu m'empêcher de sourire. Je me rappelle d'Isabelle que je n'ai vu qu'une seule fois alors qu'elle était beaucoup plus jeune. Elle avait un jeu auquel j'avais participé. Le jeu consistait à se mettre la tête dans l'eau du lac derrière chez toi. Isabelle faisait de même et disait un mot sous l'eau. Il s'agissait ensuite de sortir la tête de l'eau et répéter le mot. Il fallait de bien bonnes oreilles pour entendre sous l'eau.
En cette fête des québecois, je souhaite que tous les québécois saurons un jour sortir la tête de l'eau pour dire ce qu'ils ont entendu.
Whoops!
Excusez mes fautes de français. Dans l'énervement, j'ai oublié de me relire.
Il n'y a pas de thé glacé, tant pis ! Ce n'est pas grave, je te souhaite de bonnes vacances Zoreilles, si tu lis ceci avant ton départ. N'oublie pas les lunettes pour protéger tes yeux du soleil agressif ( en espérant qu'il fera beau ), et la lotion FPS 30, merveilleuse invention évitant des coups de soleils cuisants aux teints clairs. J'en suis aussi une grande consommatrice, peu importe ce qu'il y a dedans, c'est miraculeux!
@ Soisig
J'aime tellement vos commentaires, votre description à propos des petites routes et ponts m'a rappelé une nouvelle de Gabrielle Roy ( La route d'Altamont, aussi le titre du livre ), dans laquelle elle racontait avoir pris par erreur une route qui l'avait enchantée, à tel point qu'elle a essayé de la retrouver, mais n'y est jamais parvenue.
Finalement c'est vrai que c'est un lieu de rencontre ici...
@ Jackss
Il n'y a pas de date de péremption sur les billets de Zoreilles. Personne n'est jamais en retard !
Ouf! C'est bon à savoir.
Et connaissant la générosité de Zoreilles, qui nous entend en ce moment dans son inconscient salé, s'il y avait une date de péremption, elle en inventerait une de rédemption. :DDD
Hé ben, bonne vacances belle toi.
Te connaissant un peu, je suis sûr que tu reviendras enchanté.
Et nous les chanceux...
J'ai déjà hâte à ton retour,que tu nous raconte tes belles histoires avec la parenté et les amis.
Par contre je comprends qu'en ce moment tu dois te nourrir à même ce voyage....alors vas-y,"trip" et reviens nous raconter la butte à Mounette! etc..
Merci Lise pour ton gentil commentaire!
Effectivement, j'aime beaucoup la nature (en toutes saisons) et tout ce qu'elle nous offre. J'en aime les nuances, les belles surprises (la rosée sur les magnifiques toiles d'araignées, à l'automne, en autres) au détour des chemins de campagne.
La ligne droite, du moins sur la route, ce n'est pas pour moi, à moins d'être super pressée... Aux Îles, il ne doit pas y avoir de beaux détours: j'imagine tout en belles courbes douces...
Zoreilles doit "sentir" notre présence avec elle, hihihi!
Bonne St-Jean à tous!
Oups, il fallait lire: il doit y avoir plein de beaux détours...
Surtout aujourd'hui!!!!
Bonne fête nationale! Elle sait certainement que nous sommes là.
:D
Oui, il y a pas mal de monde qui campe ici, en attendant le retour de Zoreilles prodigue. Je suis sûre que demain elle ira à la pêche au homard...
Oui et je peux vous dire qu'elle ira sur le bateau à Fred à mononque Will.
Je le sais j'y ai été v'là 3 ans.
Pis y vont passer par l'île d'entrée et pux être monter la Big Hill....que de beaux souvenirs!
Petite question: est-ce qu'on dit du "crachin" aux Îles, lorsqu'il tombe une pluie très fine (ou brouillard)? Comme sur les côtes bretonnes...
«...mais c’est comme pour l’école, on n’ose plus rien demander, on a peur de se la faire fermer. Alors, on se la ferme! »
J'aime beaucoup cette phrase, elle est non seulement savoureuse mais si pertinente.
Accent Grave
J'aime mieux: "Depuis la nuit des temps, des hommes et des femmes ont été censurés, voire emprisonnés, torturés et parfois mis à mort en raison de ce qu’ils avaient dit ou écrit. Aujourd’hui, avec l’avènement du cyberespace et la prolifération des cafés Internet, il est de plus en plus facile à quiconque de diffuser mondialement et rapidement des critiques, des commentaires, des opinions dissidentes, notamment à travers des blogs. Certains en subissent parfois le dur revers de la répression, comme en Tunisie, en Chine ou en Égypte..." ou... http://www.alternatives.ca/article2255.html
I am extremely inspired together with your
writing abilities and also with the structure on your
blog. Is that this a paid subject or did you modify it your self?
Anyway stay up the nice high quality writing, it is rare to look a
nice weblog like this one these days..
my site: insomnia
An outstanding share! I've just forwarded this onto a co-worker who had been doing a little homework on this. And he actually bought me breakfast because I stumbled upon it for him... lol. So let me reword this.... Thanks for the meal!! But yeah, thanks for spending some time to discuss this issue here on your internet site.
My homepage ... airplane landing games
Enregistrer un commentaire