tag:blogger.com,1999:blog-4746082750896142083.post4147625960130099630..comments2023-10-29T05:47:02.248-04:00Comments on Chez Zoreilles: Lylas, mon frère autochtoneZoreilleshttp://www.blogger.com/profile/09649355594992267401noreply@blogger.comBlogger8125tag:blogger.com,1999:blog-4746082750896142083.post-10729286206412216102009-01-04T16:04:00.000-05:002009-01-04T16:04:00.000-05:00Allô Zoreilles,Merci de tes compliments, c'est tro...Allô Zoreilles,<BR/><BR/>Merci de tes compliments, c'est trop d'honneur... Crois bien que je te trouve "indulgente"... (hi! hi! hi!) Mais ça me touche beaucoup, surtout venant de toi que j'admire tant.<BR/><BR/>Je ne pense pas être publié un jour. J'écris pour meubler mes loisirs et n'ai pas d'autres prétentions. C'est un roman d'amour et d'aventures (en aviation) que je me suis mis dans la tête d'écrire. J'ai été pilote dans ma jeunesse et c'est de là que je tire mon inspiration pour le côté "aviation" de mon roman.<BR/><BR/>Et Solange m'encourage et me pousse un peu dans le dos, car je suis un indécrottable paresseux. Et puis elle qui est si constante dans ses oeuvres, eh bien elle m'inspire et son exemple me fortifie...<BR/><BR/>Oui, j'ai déjà écrit autre chose: mon "autobiographie". Encore là, ce n'était pas pour être publié, mais pour laisser une trace de mon passage pour mes enfants.<BR/><BR/>Encore une fois, merci ma belle amie! Si tu savais combien tu illumines la vie de tous!!!<BR/><BR/>Normand<BR/>qui te fais la bise un million de fois x xxx xxxSolangehttps://www.blogger.com/profile/17477780993040124098noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4746082750896142083.post-44711397055639883632009-01-04T14:04:00.000-05:002009-01-04T14:04:00.000-05:00@ Normand : Chaleureusement, bonjour, cher Normand...@ Normand : Chaleureusement, bonjour, cher Normand, et merci de ce passage de ton roman que tu partages avec nous, une écriture attachante, une plume qui me ravit. Quelques questions me brûlent les lèvres : Mais quand vas-tu publier ça? As-tu trouvé une maison d'édition? Publieras-tu à compte d'auteur? As-tu publié autre chose avant? Mais où t'as pris ce talent-là? C'est un univers fascinant, sensible et si bien écrit que tu nous présentes là... Bravo et merci à toi. Merci pour tout.Zoreilleshttps://www.blogger.com/profile/09649355594992267401noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4746082750896142083.post-23138393283095557242008-09-06T14:43:00.000-04:002008-09-06T14:43:00.000-04:00Allô Zoreilles, ici Normand.Quel beau billet, quel...Allô Zoreilles, ici Normand.<BR/><BR/>Quel beau billet, quel beau témoignage de fraternité humaine, notre belle et bonne Zoreilles ! Quand j'ai vu la photo de Lylas, ton frère autochtone, et lu ton billet nous le présentant, j'ai tout de suite reconnu un personnage du roman que je suis en train d'écrire. Gabriel Carpentier, pilote de brousse est tombé dans les monts Torngat au Labrador. Après une marche éprouvante de plusieurs jours dans la neige, il retrouve la "civilisation". Il est hospitalisé à Sept-Iles, quand il reçoit la visite d'un compagnon de travail. Bien humblement, je te soumets ce passage de mon "roman":<BR/><BR/>Le lendemain après-midi, arriva un visiteur inattendu : Jos LongChamp. Quelle joie ce fut pour Carpentier de recevoir cet homme qu’il aimait tant ! Cet Indien innu de la réserve de Mingan, mécanicien chez Les Ailes du Nord. Combien de fois Carpentier avait-il été rassuré par le travail impeccable et sans failles de ce génie de la mécanique.<BR/><BR/>–Bonjour Monsieur Carpentier, dit Jos.<BR/>–Bonjour Jos, répondit Gabriel, ravi de le recevoir.<BR/><BR/>Jos était un monument de placidité, d’équanimité. Il donna une fraternelle poignée de sa patte d’ours à Gabriel et s’assit près du lit. Et il attendit. Il fixa Gabriel de ses yeux bridés et doux. Sa bonne grosse face de Montagnais à peine allumée d’un sourire timide, il attendait. En silence. Sa seule présence parlait pour lui et disait tout.<BR/><BR/>Et il attendait…<BR/><BR/>Sachant bien que Jos était un homme de peu de mots, Gabriel entama lui-même la conversation. Il lui raconta son aventure.<BR/><BR/>Jos écoutait, stoïque. Jos « savait ». Jos « comprenait ». Jos était un homme de la nature, descendant de ces Indiens nomades qui parcouraient tout l’Ungava et le Labrador depuis des temps immémoriaux. Il écoutait en silence, impassible. De temps en temps, il regardait par la fenêtre, comme s’il voulait illustrer les propos de Gabriel de sa propre vision du monde extérieur.<BR/><BR/>Quand Gabriel parla de ses souffrances, du froid, de la faim, Jos hocha la tête en guise d’entendement. Il regardait Gabriel avec, dans ses yeux, toute la compassion du monde. Et il hochait la tête en silence, imperturbable et serein. Son épaisse chemise à carreaux craquant sous la poussée des muscles. Massif. Imposant. Une tonne de granit.<BR/><BR/>Gabriel sentit toute la puissance ramassée de ce socle humain et cela le réconforta. Et cela le fit se sentir plus fort encore. Et il éprouva pour Jos une affection virile, violente.<BR/><BR/>Il voulut s’enquérir de sa famille :<BR/><BR/>–Mais, comment vont ta femme et tes enfants, Jos ?<BR/>–Bien, répondit Jos.<BR/><BR/>Et jugeant sans doute qu’il en avait assez dit, Jos se tut.<BR/><BR/>Qu’il était bon et généreux ce silence de Jos ! Qu’il était rempli de bienveillance ! Jos prodiguait ses vertus comme par irradiation. Sourdement. Comme un calorifère.<BR/><BR/>Puis, aussi discrètement qu’il était arrivé, Jos repartit. Sa puissante carrure se découpa un moment dans le cadre de la porte, il se retourna, salua une dernière fois et disparut. Et longtemps, son silence parla à Gabriel. Il lui parla de la rusticité de cet homme, de sa frugalité, de sa sagesse. La sobriété de son verbe, la retenue de ses gestes, la simplicité de sa vie et de celle de sa famille, tout chez Jos LongChamp parlait d’une existence bien aplombée. Et cela fit un bien immense à Carpentier qui se prit à sourire, les yeux dans le vague… en silence.Solangehttps://www.blogger.com/profile/17477780993040124098noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4746082750896142083.post-77668001342956728892007-03-07T21:58:00.000-05:002007-03-07T21:58:00.000-05:00Je te retrouve comme je t'avais laissée... les lar...Je te retrouve comme je t'avais laissée... les larmes aux yeux... ce que tu écris de Lylas... c'est Zoreilles 100% Zoreilles... humaine.<BR/><BR/>Merci.<BR/><BR/>:)Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4746082750896142083.post-16792291491585618912007-01-26T19:06:00.000-05:002007-01-26T19:06:00.000-05:00WOOOWWW...
Mais c'est qu'on bien accueilli ici. C...WOOOWWW...<br /><br />Mais c'est qu'on bien accueilli ici. C'est pas grave le ménage, y'a des choses vachement plus intéressantes à faire. Et puis, hmmm, c'est chaleureux...<br /><br />Attention, la visite pourrait ne plus vouloir quitter. ;-)Guy Vandalhttps://www.blogger.com/profile/08097269980598829344noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4746082750896142083.post-84917921561572728652007-01-26T18:31:00.000-05:002007-01-26T18:31:00.000-05:00Ah ben là, je suis « déculottée » vous pouvez pas ...Ah ben là, je suis « déculottée » vous pouvez pas savoir... mais bon, ça va aller, je pense...<br /><br />Tout juste hier soir, j'envoyais un courriel à mon ami, ce cher vieux Henri, lui disant combien j'hésitais à ouvrir la porte pour le moment sur mon univers. <br /><br />D'abord, parce que ce carnet n'est pas encore à mon goût, que j'aurais voulu d'abord vous mettre en lien avant d'ouvrir les portes de ma modeste demeure et je n'aurais sûrement pas mis ma photo si j'avais su. En plus, n'étant pas encore dans le ton des actualités tout à fait...<br /><br />Mais je suis tellement nulle dans les entourloupettes informatiques et virtuelles et ça, c'est ce qui m'a permis de mieux connaître mon ami le vieux Henri, en l'an 2000. Parce que le vieux Henri, c'est un as et pas juste en ce domaine, alors, je le consultais, comme ça, mine de rien, sachant combien il est discret et respectueux.<br /><br />Je viens de comprendre que maintenant, quand je laisse un commentaire chez vous, puisque je fais partie de la carnetosphère, mon nom est souligné en bleu, devient « cliquable » et vous amène chez moi. <br /><br />Pour quelqu'un qui hésitait encore, me voilà dans le bain! C'est aussi bien comme ça et puis, votre accueil me touche...<br /><br />Je me sens maintenant comme si la belle visite que j'espérais un jour venait d'arriver à l'improviste alors que je n'ai pas grand-chose à leur offrir! Alors, ce sera comme dans la vie : « Bisou, bisou, rentrez donc, dégreillez-vous, je suis si contente de vous voir, pis regardez pas le ménage, on a tellement d'affaires à se raconter! »Zoreilleshttps://www.blogger.com/profile/09649355594992267401noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4746082750896142083.post-18483423286791112222007-01-26T15:13:00.000-05:002007-01-26T15:13:00.000-05:00Yessssssssssss! Mon week-end qui s'éclaire! Vraime...Yessssssssssss! Mon week-end qui s'éclaire! Vraiment chouette de te retrouver, chez-toi, un peu...<br /><br />Tu seras une de mes incontournables Zoreilles! Merci de "te lancer" ainsi! Cool! Vraiment!Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4746082750896142083.post-45590945424738195922007-01-26T14:44:00.000-05:002007-01-26T14:44:00.000-05:00Héhé... j'ai l'honneur d'être le premier à laisser...Héhé... j'ai l'honneur d'être le premier à laisser un commentaire dans ton carnet. ;-)))<br /><br />Bienvenue dans la carnet-o-sphère, chère Zoreilles. Je t'attendais depuis <a href="http://carnetiers.blogspot.com/2007/01/on-lattendait-celle-l.html">longtemps</a>. ;-)Guy Vandalhttps://www.blogger.com/profile/08097269980598829344noreply@blogger.com